Ils nous
ont quitté...
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AUX ECHOS D'ALGER, n°152,
mars 2021.- Il y a des compatriotes qui auront marqué Notre Histoire par leur notoriété mais aussi et surtout par leur travail de recherches sur notre belle histoire qui s'appelait Algérie Française. C'est le cas de M. Georges BOUCHET qui résidait à BIRKHADEM, avant que ce satané « Vent de l'Histoire... » Professeur agrégé à l'Université de Pau, il a oeuvré pendant de nombreuses années dans cette voie afin de faire connaître, d'approfondir, de rétablir les origines, de parler de la création des villes et villages, de l'oeuvre de la France tellement décriée par des propos malveillants à notre encontre et à celle de l'armée. Ses recherches et souvenirs évoqués, resteront « un patrimoine culturel » qui permettra dans le futur, à nos descendants, d'avoir une analyse réelle et différente de tout ce qui aura pu être manigancé... La rédaction des Echos d'Alger a souvent utilisé ce travail de recherche pour le faire connaître à ses lecteurs en puisant dans le site de Bernard VENIS à qui M. Georges BOUCHET apportait sa collaboration. M. BOUCHET, né à ALGER, avait un amour inconditionnel de « son pays » et regrettait le temps où il courait pieds-nus, dans la ferme d'une de ses tantes à SAOULA. Il voulait « rentrer chez lui » aux derniers instants... là-bas... en Algérie, écrit sa chère épouse. Le destin en a décidé autrement. Il s'est éteint à Pau le 11 novembre 2020 à l'âge de 85 ans. A son épouse Denise BOUCHET née MARTIN (BIRMANDREIS / ALGER 8ème), Isabelle et Patrick AUDFRAYE, sa fille et son gendre, Thibaut BOUCHET et Mélina, son fils et sa belle-fille, vont nos meilleurs sentiments fraternels. |
AOUT 2015 J'ai la tristesse de t'informer du décès de notre ami, Jean BOISARD, ancien de Dordor, et du Lycée Bugeaud. Il est décédé à Narbonne, le 13 juillet 2015, des suites d'une longue maladie chronique, à la veille de son 73° anniversaire. Jacques CHEVIET Je vous informe du décès de mon cousin germain, Jean BOISARD, survenu le 13 juillet 2015 au centre hospitalier de Narbonne, à 4 jours de "fêter" son 73ème anniversaire. Ses parents et sa grand-mère maternelle habitaient le 98, rue Rovigon à Alger. Ils avaient comme voisins de palier la famille ARSICAUD. Bernard LERMÉ ( |
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Transmis par Rémy Laven, le 26 mai
2014.- Roland Bacri est décédé samedi 24 mai 2014 à Levallois-Perret, dans sa quatre-vingt-huitième année. Dit Roro de Bab-el-Oued ou Le petit poète du Canard enchaîné, Roland Bacri était le chantre dune Algérie disparue, la mémoire des pieds-noirs et en particulier des Algérois. Il avait publié plus de vingt livres dont le formidable Et alors ? Et Oila !, énorme succès de librairie dans les années soixante. On lui doit aussi en tant quéditeur la réédition de plusieurs ouvrages-clefs de notre culture comme la Parodie du Cid dEdmond Brua, Cagaillous de Musette ou les Fables de Kadour. Durant quarante-deux ans il avait participé à léquipe de rédaction du Canard Enchaîné, rendant célèbre le surnom du Petit poète. Roland avait aussi enregistré plusieurs chansons sur des musiques de son frère, Jean Claudric, compositeur et chef dorchestre dEnrico Macias, Mireille Mathieu et de bien dautres. Il avait été un homme de radio, réalisant plusieurs fresques radiophoniques dont une merveilleuse biographie drôlatique dÉric Satie. Raymond Devos devait à la plume de Roland Bacri six de ses tous premiers monologues. Cest dailleurs avec Raymond Devos quil remporta le grand prix du disque de lacadémie Charles Cros pour un album intitulé Le Petit Poète. Le cinéma fit parfois appel à lui pour quelques textes mais cest à la télévision quon le vit le plus souvent, devant les caméras dApostrophes de Pivot, des Raisins Verts dAverty, de lhistoire du rire de Daniel Costelle et de dizaines dautres émissions. Un projet de film sur son uvre avec au générique Guy Bedos et Fellag était à létude. On ignore sil aboutira. Ami de Marcel Pagnol, complice de Francis Blanche... la personnalité gouailleuse de Roland Bacri était appréciée de tous ceux qui lont approché. À la suite dune opération chirurgicale malheureuse, Roland Bacri, très diminué et se déplaçant avec peine, cessa toute activité à la fin des années quatre-vingt-dix et se retira à Levallois-Perret ou il vécut dans une semi-solitude, oublié de la plupart de ceux qui le courtisaient lorsquil était journaliste. Il est inhumé au cimetière de Levallois-Perret. Quil repose en paix. RL |
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Transmis par Gaby DALMAU, le 2 juin 2013.-Je me permets de vous transmettre la nécrologie dun pied noir dexception qui je pense, peut être mis à lhonneur. Parution dans lEST REPUBLICAIN de ce matin. Le service pédiatrie de lhôpital de Besançon est connu aujourdhui non seulement à léchelon régional mais national. Le service de néo-natalité en particulier, reçoit des grands prématurés ou des nouveaux nés, des enfants atteints daffections graves diverses, de toute lEurope.
Besançon. Le Professeur André Raffi, fondateur de la pédiatrie franc-comtoise, sest éteint, le 20 mai dernier. Il avait 93 ans. (note du site: André Raffi , habitait 21 rue Auber à Alger. Voir ici. Alphonse Raffi fut un maire d'Alger . Même famille?) Né le 14 juin 1920 à Alger, André Raffi poursuit ses études de médecine et arrive à Besançon avec sa famille en 1962. La pédiatrie hospitalière nen est alors quà un stade embryonnaire. Le service des prématurés, dans le pavillon Bersot, lui est confié. À partir de cette petite unité fonctionnelle, André Raffi développe une pédiatrie moderne et efficace. Lécole de pédiatrie est née. La plupart des pédiatres de la région en sont issus. Cest ainsi que sont créés sous son impulsion la néonatologie, la gastro-entérologie avec les premières PH mètries et endoscopies, lhématologie avec les premières greffes de moelle, lendocrinologie, la neurologie et la pédopsychiatrie, sans oublier les urgences pédiatriques, la pédiatrie sociale, le centre de référence de la mort subite des nourrissons et laccueil des enfants maltraités. Pour héberger ces unités fonctionnelles nouvelles, André Raffi se bat aux côtés du professeur de la maternité pour créer un véritable pavillon : « La Mère et lenfant » ouvre ses portes en 1973, scellant ainsi la collaboration obstétrico-pédiatrique.En 1974, il crée lassociation régionale de dépistage des maladies métaboliques (Ardemme), puis plus tard le centre régional de la mucoviscidose, en collaboration avec quelques confrères. En 1976, grâce à ses interventions auprès du ministère de la Santé, le Pr Raffi fait aménager un véritable service de réanimation pédiatrique dans le pavillon Bersot, assurant dès lors la prise en charge des détresses vitales des enfants de toute la Franche-Comté, en lien avec le SMUR. Pédiatrie sociale Outre ses activités hospitalières et de ses charges denseignement, André Raffi simplique beaucoup dans la prévention et dans la pédiatrie sociale. Il préside même lantenne locale de lUNICEF et le Comité de lenfance. Il structure le centre de postcure des Salins de Bregille, organise des réunions annuelles de périnatologie et participe activement au groupe des pédiatres de lEst et du Nord. Enfin, il crée et préside lassociation groupe détudes en néonatologie de Franche-Comté (GEFC). Autant dengagements qui ont transformé la pédiatrie régionale, grâce à sa rigueur, sa détermination, voire même parfois son acharnement. André Raffi ne lâchait jamais prise dés lors quil sagissait de lintérêt de lenfant. Lhomme pourtant avait été marqué par quatre années de guerre, qui lui valurent la Croix de guerre 1939-1945. Il était en outre officier dans lOrdre national du mérite et chevalier des Palmes Académiques En 1950, André Raffi épousait Michèle, ils eurent trois fils, Alexandre-André, Bernard et Jean-Xavier, puis huit petits-enfants et deux arrière-petits-enfants. À la retraite, ce passionné de tennis, fut durant 10 ans président du RCFC. Il aimait aussi le golf et le bridge. Homme droit et intègre, il était aussi juste et généreux et partageait avec ses proches une vision scientifique de la vie. Ses obsèques ont été célébrées le 24 mai. Gaby DALMAU http://perso.orange.fr/quingey-dalmauCEGFC 3616 Au 12-2-2022.-Je me permets de vous envoyer ce message pour vous indiquer que le professeur André RAFFI (né André Pierre Edmond RAFFI), fondateur de la pédiatrie franc-comtoise que vous citait comme peut-être de la même famille d'Alphonse RAFFI, le maire d'Alger, est bien de la même famille car André RAFFI est le petit-fils d'Alphonse RAFFI car André RAFFI est le fils d'Albert RAFFI et de Juliette Berthe LUBET. Albert RAFFI est le fils d'Alphonse RAFFI. Je vous envoie l'acte de naissance de André RAFFI en pièce jointe que j'ai demandé au SCEC (service central de l'état civil) à Nantes pour vérifier la parenté. Cordialement - Laurent PARROT |
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Disparition de notre Président
d'honneur Boris Kan, |
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2-4-2012.-Chers Amis du Cercle Algérianiste
de Lyon. Les Ides de mars ne nous ont pas été très favorables, et nous avons le regret et la peine de vous apprendre qu'un autre ami, une 'personnalité' algéroise très proche et connue s'en est allée, elle aussi, rejoindre la maison du Père. Il s'agit de Monsieur René Chaix qui est décédé le 20 mars 2012, à Grenoble, à l'âge de 88 ans. Tous les Algérois connaissaient la librairie Chaix (une institution) située au no 11 de la rue d'Isly. Tous les amis repliés à Grenoble ont connu la librairie Chaix, située à une encablure de la place Victor-Hugo, et l'accueil souriant amical et discret de Mr et Mme Chaix, qui avaient ré-édifié , après l'exode, un établissement sobrement élégant, où les livres de poche des débuts (la 1ère pocothèque de Grenoble) cédèrent vite la place à des livres d'art et à des jeux de société. C'est là que j'eu le plaisir de les connaître. Ceux qui furent étudiants "repliés" à Grenoble, dans les années 60-70 se souviennent de leur gentillesse. Retour arrière. Les amis de la génération de René Chaix, évoqueront eux, plutôt les multiples activités culturelles qui se déroulaient à Alger dans l'environnement de la fameuse librairie de la rue d'Isly (conférences et manifestations musicales). D'autres évoqueront l'activité de scout de René Chaix, qui fut jusqu'en janvier 2012, le "deus ex machina-président" de l'amicale des anciens du groupe Charles de Foucauld. Enfin, qu'il nous soit permis de rendre personnellement hommage à celui qui fut, des années durant, président du Cercle Algérianiste de Grenoble. Il eut à organiser en particulier, en octobre 2002, le 29ème congrès de la Fédération des Cercles Algérianistes. Ce fut un beau succès dont nous nous souvenons, parmi d'autres, des interventions d'Henri Amouroux, et celle pleine d'émotion d'Elisabeth Ibazizen qui évoqua son père Augustin Ibazizen auteur du "Pont de Bereq-Mouch". Pour résumer ce congrès ce petit mot de l'écrivain Henri Martinez : "'J'ai adressé à René Chaix et aux Algérianistes de Grenoble, un petit mot de remerciement, car j'ai été très sensible à cette espèce d'élégance subtile, qui s'est dégagée de ces quarante huit heures passées ensemble et je pense que c'est à eux que nous le devons. Je tenais à le leur exprimer". Tout est dit en quatre lignes, à propos de celui qui vient de nous quitter. Nous adressons aujourd'hui, nos sentiments de sympathie attristée, à Madame Chaix et à sa famille. Nous partageons autant qu'il est possible, leur chagrin et les assurons de nos prières. A Dieu René Chaix et merci, pour tout ce que tu as été. Nous ne t'oublions pas Philibert Perret. Pdt du Cercle Alg. de Lyon. |
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24-12-2011.- Ratiba Sengui nous fait part du décès
de son oncle Amar Hamza. Son nom est cité dans un article paru dans "l'Algérianiste", n° 40, de décembre 1987 : École nationale supérieure agronomique d'Alger 1905-1962 par Edgar Scotti ( ). En voici un extrait -L'institut agricole: un village dans la ville ----------Dans les années 1960, les anciens marais qui entouraient en 1840 la Maison-Carrée étaient oubliés. Une ville de 80 000 habitants s'étendait de part et d'autre de l'Harrach, constituant ainsi le 10e arrondissement du grand Alger. ----------Dans les laboratoires, les services administratifs, l'atelier et les exploitations, des hommes et des femmes de toutes confessions travaillaient dans une entente parfaite. ----------Venus très jeunes de leur douar natal, travailler à l'Institut agricole, des conducteurs de tracteurs avaient pu accéder à des emplois de mécanicien, de caviste demandant intelligence et qualification. Des familles attachées à leur emploi, à leur maison et à leur jardinet s'étaient ainsi constituées. ----------Si, au cours des événements tragiques qui ont marqué l'Algérie de 1954 à 1962, l'Institut agricole a vécu des jours dramatiques, il n'y eut heureusement aucun drame, aucun affrontement. ----------Il régnait à l'école et sur les exploitations une confiance et une solidarité qui ne se sont jamais relâchées et qui se sont même développées grâce à des actions initiées par Mme Deloye. ----------Dans les périodes les plus critiques cette solidarité se concrétisait notamment par des sorties de nuit pour porter aide à un malade ou à une accouchée. Tandis que les exactions ne se comptaient plus sur les chemins vicinaux qui traversaient les exploitations entre le Retour-de-la-Chasse et l'Oued-Smar. ----------Les familles qui vivaient ainsi dans ce gros village partageaient de façon inoubliable peines et joies de tous sans aucune distinction. ----------Aussi convient-il de citer les familles Ben-Zekri, Blidi, Bouali, Merouani, Nedjari et Hamza, particulièrement celle de M. Amar Hamza, ancien combattant du C.E.F. en Italie puis en France dans les Vosges. M. Amar Hamza était connu et apprécié de toutes les promotions qui se sont succédé à l'Institut agricole de 1946 à 1962. |
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5-11-2011 Nous avons le regret et la tristesse de vous faire part du décès du père de notre grande amie Geneviève Troncy-Bortolotti, survenu hier dans la région de Marseille. Il aurait eu 100 ans en janvier 2012, dans deux mois........... Ses obsèques auront lieu mardi 8 novembre à 14h30 à Plan-de-Cuques Avec lui, c'est un pan de notre histoire qui disparait encore. Pour les "petits jeunes" qui ne connaissent que de petits morceaux de notre histoire, et les moins jeunes, sachez que le fief de la famille Bortolotti était le petit village de Francis-Garnier, près de Ténès. Pour le grand'père de Geneviève, Camille Bortolotti, (1887-1983), sa vie se confondit à la fois, avec celle de Francis-Garnier, puisqu'il édifia dans sa propriété un usine d'où sortait la fameuse "Karmoucette" (confiture de figues ultra-recherchée), (usine qui fonctionna jusqu'en 1959) et avec la vie politique en l'Algérie, puisque délégué à l'Assemblée Algérienne, il en devint le Vice-Président en 1960, puis le Président,...à la fin. Pour en savoir plus sur cette saga, cliquez sur le lien ci-après, du site internet de notre ami Bernard Venis, où Geneviève en 2011, inscrivit des pages signifiantes. http://alger-roi.fr/Alger/francis_garnier/francis_garnier.htm Et pour connaître une facette de Gilbert, le père de Geneviève, forte personnalité lui aussi, c'est en cliquant sur le lien suivant, que vous découvrirez un tonitruant diseur de fables en sabir, fables de sa propre composition. http://alger-roi.fr/sommaire/sommaire.htm Geneviève a consacré à sa famille un bouquet de pages très personnelles avec plein de photos, étonnantes dont celle d'un grand requin blanc, péché du côté de la baie des Beni-Haoua......!!!!!! ------------------------------------------- |
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26 mai 2011 - · ALGER - EL-BIAR - Vienne - Arles. Bernard et Michèle VENIS, Jean et Marie-Pierre VENIS, ses fils et belles-filles, ses petits-enfants et arrières petits-enfants, vous font part du décès de Mme Louise VENIS, survenu à l'âge de 90 ans. La cérémonie d'obsèques a eu lieu en la chapelle de l'hôpital Edouard Herriot le lundi 30 mai. Michel VENIS, son époux, nous avait quittés le 3 mars 2005, à 87 ans. Louise, Carmen était la fille de Jacques BALLESTER et de Maria Candelaria - Rudelin. Michel et Louise ont habité avenue Gandillot, puis rue Levacher, puis EL-BIAR, jusqu'en juin 1962. |
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Solange
Carayol nous fait part du décés de sa maman Yvonne. Marie-Geneviève CARAYOL
et Solange DIETSCH, ses filles, ses 5 petits-enfants et ses 12 arrière petits-enfants, ont la tristesse de vous faire part du rappel à Dieu de Madame Jean-Baptiste CARAYOL, née Yvonne BERTRAND, le 18 janvier 2011 dans sa 101ème année. La cérémonie religieuse aura lieu le samedi 22 janvier à 15h en léglise dEspédaillac (Lot) suivie de linhumation au cimetière d'Espédaillac. Une messe sera célébrée le samedi 5 février au matin à léglise Notre-Dame de Versailles. |
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Léquipe du CDHA a la profonde tristesse de vous
annoncer le décès du Colonel
Gaston BAUTISTA :
Le Colonel Gaston BAUTISTA, est décédé ce samedi 19 juin 2010, à lâge de 91 ans à son domicile de la Seyne sur Mer.
Né en 1919 à Saïda, département dOran,
il était chef de bataillon du génie dans la réserve.
Présent sur de très nombreux théâtres dopérations durant la guerre de 1939/1945, il combattit en Italie, débarqua sur les côtes de Provence, participa à la libération de « Notre Dame de la Garde », à la libération de « Toulon », il ouvrit également des têtes de ponts sur le Rhin au sein de la 3éme D.I.A sous les ordres du Général de MONTSABERT Affecté à différents postes en A.O.F, puis à Montauban, Sétif, Tarbes, Montpellier pour être nommé le 15 décembre 1958 « Chef dEtat Major du sous secteur dHussein Dey au 19éme régiment du Génie, il est nommé « Chef de Bataillon » le 1er janvier 1962. Il fera valoir ses droits à la retraite le 16 février 1965.
Dés quun compliment lui était adressé pour ses faits darmes, il y associait, systématiquement, tous ses soldats.
Rentré dans la vie civile il occupera des postes de responsable au sein de cabinets détudes. Sa vie de retraité fut aussi remplie que sa vie « active », meurtri par lobligation de quitter définitivement sa terre natale quil chérissait tant, meurtri par tous les souvenirs laissés derrière lui son grand père, lune de ses grandes fiertés, ne fut-il pas larchitecte bâtisseur de léglise de Saïda - il neut de cesse de combattre la désinformation et aurait tant aimé voir aboutir son grand combat tourné vers les milliers de personnes, enlevées, à jamais disparues en Algérie. Il a assumé la présidence de « LASFED » - Association pour la Sauvegarde des Familles et Enfants de Disparus avec beaucoup de dévouement, jusquà ce que la maladie ne lempêche. LASFED, aujourdhui, SFDA, dont laction continue, est actuellement présidée par Monsieur Christian GILLE (04.94.30.61.04). La maladie avait cloué le Colonel Gaston BAUTISTA au lit depuis plusieurs mois, il nen restera pas moins un magnifique et grand exemple de courage et de ténacité. Son obsession, jusquau dernier moment, fut de sassurer que les multiples flambeaux quil avait portés, avec tant de conviction, de foi et dabnégation soient repris dans le même esprit. Paix à son Âme, que tous ses combats soient relayés par les personnes qui partageaient ses idées et ses certitudes.
Ses obsèques auront lieu, jeudi 24 juin 2010 à 10 heures, en léglise :
« Notre Dame de la Mer » 285, avenue Fernand LEGER 83500. la Seyne / Mer
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Extrait de Aux échos d'Alger,n°104,
mars 2009
HUSSEIN-DEY - ROUÏBA - Marignane. Ghislaine ARTIGLIERI
est dans un immense désarroi depuis le décès accidentel,
de son fils. Ghislaine est la veuve de Alain né à ZERALDA.·
ALGER - 77, bd Saint Saëns - Marseille. Mr Jean DUPONT.
Né en 1918 à Asnières, il était l'époux
de Mme DUPONT née Georgette LEMMET à ALGER.· Mme BABILON et Mr Maxime GODARD, nous font part du décès
de leur papa et frère Mr Gilbert GODARD né en 1913 à
Malroy et décédé à Malroy/57. Sa dernière
adresse en Algérie était au C.F.P.A. à BEN-AKNOUN.
SAINT-FERDINAND - HUSSEIN-DEY - Perpignan. Françoise
TORRES (tata Zézette, comme nous l'appelions affectueusement, cousine
de Francette MENDOZA née TORRES) née en 1914 à ZERALDA
s'est éteinte à Perpignan. Elle est allée rejoindre
son époux Albert DOUILLET (directeur de l'école de garçons
à HUSSEIN-DEY) et sa fille Charlette (pharmacienne) décédée
accidentellement. |
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J'ai la grande tristesse de vous faire part du décès
de Louis BARTET, le lundi 18 Février
à 22 heures, à l'âge de 78 ans. Adjudant Chef, Ancien du 7ème Tirailleur Algérien, Chevalier de la Légion d'Honneur, Titulaire de la Médaille Militaire, Chevalier de l'Ordre National du Mérite, il était le Secrétaire Général de l'Union Nationale des Anciens Combattants Français Musulmans et le Secrétaire de l'U.D.A.C.F.M.. Il a été l'ami et le compagnon du regretté Capitaine Rabah Kheliff. Une messe sera célébrée vendredi prochain 22 février à 14 h 15, en l'Église de la Nativité, Place Grandclément à Villeurbanne. Il sera inhumé au nouveau Cimetière de la Guillotière, Avenue Berthelot, à l'issue de la cérémonie religieuse. Louis BARTET a été d'une disponibilité totale pour les anciens combattants Français Musulmans et leurs familles. Au nom du Cercle Algérianiste, à sa veuve et à sa famille, j'adresse mes condoléances les plus sincères. Luc DEMARCHI. |
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J'ai le regret et beaucoup de peine de vous annoncer le décès
de mon oncle, Joseph Palomba,
décédé Dimanche 5 Avril, jour des Rameaux, à
l'âge de 89 ans. Il avait beaucoup écrit sur l'histoire de
pêcheurs d'Alger.Annie Gazut. Site: Joseph Palomba et Edgar Scotti, m'avaient fait l'honneur de participer au site en m'adressant quelques-uns de leurs textes.Voir, par exemple, hommage aux pilotes ou apocalypse sur Alger |
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Nicole nous fait part du décés de son père Georges PATERNOT, survenu le 10 décembre à La Ciotat Il était maire de Félix-Faure et, jusqu'en 1962, président de la fédération des maires du département d'Alger. (voir la page) |
Je suis le frère de Jacques
Prat, élève à Bugeaud de 1952 à 1956.
Peut-être que certains d'entre vous l'on connu. Jacques a obtenu son
1er prix de violon au Conservatoire d' Alger en 1956, puis à Paris
un peu plus tard. Il a eu une carrière de soliste international et
national bien remplie (Orchestre de l'Opéra de Paris, Orchestre Philarmonique de Radio-France, Bâle etc...) et a notamment fondé plusieurs quatuors à cordes. Il a terminé sa carrière comme 1er violon solo à l'Orchestre national de Montpellier, ville où il est décédé en 2004. J'ai eu l'émotion de retrouver ici deux photos de classe que je connaissais pas, où il figure. Si certains ont des souvenirs en commun avec Jacques, vous pouvez bien sûr me les faire partager à l'adresse suivante : pierrkiroul@wanadoo.fr. Ce sera un grand plaisir. |
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Edgar SCOTTI
qui a participé à ce site par l'envoi de nombreux documents
nous a quittés le 31 décembre 2008. Pierre Anglade :" ... je vous informe du décès le 31 décembre dernier de mon ami Edgar auquel j'ai rendu hommage lors de la cérémonie religieuse en l'Eglise St. Paul à Toulouse: <<Un honnête homme nous a quitté En pareille circonstance il n'est pas rare d'entendre faire référence a ce proverbe africain: "un vieillard qui disparaît c'est une bibliothèque qui brûle" Viscéralement attaché à sa terre natale d'Algérie chercheur infatigable toujours disponible et d'une grande courtoisie Edgar Scotti ne fut jamais intellectuellement un vieillard mais par contre il fut pour tous ceux qui l'ont sollicité bien plus qu'une vaste bibliothèque. Pour lui rendre hommage je donne la parole a Louis Dulac. Louis Dulac qui fut l'un des élèves de MONSIEUR Scotti au sein de l'école d'agriculture de Sidi bel Abbés>> |
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18-2-2008.- Danielle, son épouse : " Paul SOLDANI. ...Bonjour à tous les pieds noirs de Belcourt, je ne suis pas venue sur le site depuis quelques temps, mon mari a eu de gros soucis de santé, il est décédé le 17 janvier dernier, des suites d''une cruelle maladie, comme l''on dit, et c''est vrai. Je vois qu''il y a toujours autant de messages touchant, c''est vrai que l''on aimerait retrouver tous nos anciens amis, ce serait un beau cadeau. Amitiés à tous. |