|  
         ORAN
         
          | AVERTISSEMENT à L'IMPROBABLE LECTEUR. 
 Mon copain Francis m'a fait parvenir un extrait de l'Echo d'Alger 
            de 1913 concernant le village négre d'Oran. Pour le placer 
            (l'extrait, pas Francis.), j'ai cru bon d'ouvrir quelques pages sur 
            cette ville.
 
 Je n'ai pas l'intention de développer ce dossier. Il existe 
            certainement une foultitude de sites consacrés à cette 
            ville. Certains de ces sites plagiant et copiant ce qui se faisait 
            avant eux pour alimenter le leur (je connais!!!).
 
 Oui, j'ai visité cette ville lors de deux ou trois jour de 
            Pentecôte de l'an ????. Certainement après 1958 où 
            les routes semblaient plus sûres. Deux véhicules , le 
            nôtre et celui de tata Lison. Elle avait (ou nous avions) de 
            la famille là-bas. Mon père s'était muni d'une 
            arme (pauvre réconfort en présence éventuelle 
            d'un groupe). La route de la côte, je pense. Plus de 400 km. 
            A cette époque, fallait le faire ! Pas d'autoroute. Cabassette 
            en chemin?
 
 Pentecôte! Aucun hôtel libre. Mon père et moi avons 
            dormi dans la Dauphine, près de l'Hôtel de ville. Un 
            individu, croyant le véhicule vide, avait tenté de nous 
            voler la galerie de toit et était parti au grand galop en nous 
            voyant relevés. Ma mère, mon frère avaient dormi 
            chez une vague tante. Ce qu'on a fait, ce qu'on a vu? Je ne saurais 
            dire. Aucun souvenir ne m'est resté de cette équipée 
            sauvage.
 |  
         
          | Guides 
            bleus Hachette, 1955 ORAN, ville de 300.700 hab., ch.-1. d'un département 
            de 1.9990.730 hab. et de la division de ce nom, siège d'un 
            évêché, est situé au fond d'une baie ouverte 
            au N. et dominée directement à l'ouest par l'Aïdour, 
            montagne escarpée et nue qu'on aperçoit de tous points 
            de la ville, portant son vieux fort espagnol de Santa-Cruz et sa chapelle 
            de la Vierge.
 La ville ne comptait, en 1831, que quelques milliers d'hab. Son extension 
            a donc été considérable et lui donne aujourd'hui 
            dans ensemble l'aspect d'une grande ville européenne très 
            moderne.
 Groupé originairement entre la mer, la montagne et le profond 
            ravin de l'oued Rehi, maintenant couvert et devenu le boulevard Stalingrad, 
            Oran s'est étagé en amphithéâtre sur les 
            deux versants de ce ravin, puis s'est étendu sur le plateau 
            de Karguentah, à 80 ou 100 m. d'alt. au-dessus de la mer. La 
            ville haute est reliée aux anciens quartiers et au port par 
            des voies en pente raide, mais un réseau bien compris d'autobus 
            et de trolleybus facilite les relations entre les diverses parties 
            de la ville et se prolonge jusque dans les faubourgs qui s'étendent 
            de plus en plus vers le S.-O. (cité Petit) et le N.-E. (Gambetta).
 Les plus belles et récentes réalisations sont : la nouvelle 
            route du port (p. 189), le boulevard Front-de-Mer (p. 191) et le parc 
            Sananes. Notons enfin que, depuis 1952, Oran est alimentée 
            en eau douce par une conduite de 180 k. qui relie la ville au barrage 
            réservoir des Beni 
            Bahdel (p. 258).
 |  
         url de la page : 
          http://alger-roi.fr/Alger/oran/oran.htm
 mise sur site :nov.2021
 |