L'EAU
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Le nouveau réservoir de Kouba Près de l'église de Kouba aux blanches coupoles, au sommet de la côte qui conduit au village face au merveilleux panorama d'Alger-la-Blanche, de son port grisaillé de fumées et hérissé de mâts, des ouvriers travaillent au fond d'une tranchée. Ici passeront les conduites et le canal de vidange, explique M. Molbert, ingénieur en chef de la ville à M. Marcelin Grégori, adjoint au maire d'Alger, qui est à la tête d'un petit groupe de visiteurs, parmi lesquels MM. Blondin, ingénieur adjoint, chef du service des eaux ; Fourey, chef d'exploitation du service des eaux et Cerlini, chef des travaux neufs de la ville. Cette tranchée forme, à la vérité, un lit profond et large où pourraient s'écouler les eaux d'une rivière. Nous sommes, à ce moment, devant un mur au sommet duquel s'activent quelques manoeuvres et ouvriers qui nous dominent d'une dizaine de mètres : on se croirait au pied d'un barrage. (suite dans l'article.) |
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Sur ce site: HYGIÈNE et PROPRETÉ DE LA VILLE D'ALGER - Echo d'Alger - 1930 L'alimentation d'Alger en eau potable - Echo d'Alger du 11-7-1933 - Comment Alger est alimentée en précieux liquide |
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