Vieil Alger : la djénina
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Extratis
des Feuillets d'El Djezaïr (sur
ce site) Du côté du nord s'ouvrait : Dans la partie basse, La Porte Bab-el-Oued (du Ruisseau), qui était fort étroite et que, disent les rapports militaires, franchissaient très difficilement les chariots chargés aux carrières voisines, des blocs destinés à la jetée. Une porte de plus grandes dimensions la remplaça en 1841, qu'on démolit en 1846. Les nouvelles portes furent plus loin, où passe l'actuel boulevard Guillemin. Ces dernières disparurent en 1896. Dans la partie haute, La Porte Sidi-Ramdan, près de la mosquée de ce nom, qui donnait accès à la campagne voisine d'El-Kettar. Il n'en reste plus aujourd'hui que le souvenir. Bientôt la création de l'esplanade Bab-el-Oued nécessita la destruction du cimetière des Pachas. Le sol fut abaissé de quatre-vingts centimètres. Une grande quantité d'ossements recueillis en ces lieux fut expédiée à Marseille où il en fut fait du noir animal. Parfois les exhumations furent prématurées. (voir ici, à Feuillets d'El Djezaïr: les cimetières musulmans) |
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