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On parle du métro. On en parle même
beaucoup puisque le problème la dont la solution intéresse
non seulement l'agglomération algéroise mais aussi
la considérable population de notre vaste banlieue a provoqué
tout récemment, ! sans parler des conférences entre
les sociétés exploitantes de transports en commun,
des délibérations nombreuses, des conseils municipaux
d'Alger, d'Hussei-Dey, de Maiison-Carrée, de Kouba,
de Birmandreïs, d'El-Biar, Bouzaréa et de Saint-Eugène,
du conseil général d'Alger, et ces jours-ci, des Délégations
financières et du Conseil supérieur de gouvernement
de l'AIgérie.
Ces deux dernières assemblées ayant qu' émis
des votes de principe favorables à la participation financière
de la colonie
au projet de chemin de fer souterrain d'Alger et de ses annexes,
il apparaît nettement que l'on va entrer dans la voie des
études techniques et financières définitives,
prélude d'une réalisation qui s'impose dans le plus
bref délai possible.
Pouvait-il en être autrement ? En présence de la crise
croissante des transports en commun dans la région algéroise
et des difficultés sans cesse grandissantes de la circulation
à Alger et tel dans sa banlieue, nous avons toujours dit
non. Nous avons été, je crois, les premiers à
penser que seul un métro pourrait dégager nos artères
encombrées par les trams depuis des années, par les
autobus depuis peu, mais nous pouvions nous tromper. Et puis les
difficultés financières étaient grandes, qui
nous....
( Début et suite dans l'article.)
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