TENIET - EL - HAAD

Une merveille de l'Algérie touristique

Téniet-el-Haâd et la forêt des Cèdres

L'excursion à la forêt de cèdres de Teniet-el-Haâd, l'une des plus intéressantes de l'Algérie, est tout à fait recommandée. L'itinéraire passe par Affreville et s'étend sur 179 kilomètres, avec, à partir d'Affreville, un parcours seine de broussailles, de pins d'Alep en partie incendiés, de chênes-lièges, d'oliviers sauvages, de genévriers, de frênes, etc.

Teniet-el-Haàd (col du Dimanche) est situé à 1.150 mètres, au col le plus important et le plus fréquenté du massif de l'Ouarsenis. L'altitude, le voisinage de hautes montagnes couvertes de neige une partie de l'année, des eaux abondantes, un climat frais en été, la proximité de la forêt de cèdres ont fait de Teniet-el-Haad un centre d'estivage très fréquenté.

(suite dans l'article.)

Extrait de l'Echo d'Alger du 13-4-1933 - Transmis par Francis Rambert
mise sur site:février 2019

Pour la forêt de cèdres de Teniet-el-Haâd
Afrique illustrée du 19-9-1931 - Transmis par Francis Rambert
mise sur site:nov.2021

Pour la forêt de cèdres de Teniet-el-Haâd

Teniet-el-Haâd ! Qui n'a entendu prononcer le nom du petit chef-lieu de canton algérien ? Qui n'a entendu parler de sa forêt de cèdres ? Pourtant qui la connaît ou l'imagine autrement qu'un site tout pareil à tant d'autres ? Loin de moi pourtant la pensée d'en banaliser l'aspect, et ce n'est pas pour les spéculateurs de beauté, les vandales et les amateurs de papiers gras ou de boîtes de conserves que ces lignes sont écrites.
Je m'adresse à vous qui aimez pour aimer et qui savez en toutes choses découvrir une âme. Il est des sites qui élèvent le corps et l'esprit, il semble qu'en y accédant on respire un air plus léger en même temps qu'on libère la pensée des trivialités et des servitudes sociales. Il est des grandeurs qui vous dépassent, des somptuosités qui vous écrasent, des silences qui effrayent. Ici, rien de semblable. L'imposante forêt vous enveloppe et vous charme. Elle a tout juste la fierté qu'il faut à une jolie femme pour contenir les admirateurs empressés et se faire désirer.

Sans doute est-il agréable de l'aborder par la route lumineuse et pittoresque d'Affreville, à travers ce chaos de montagnes stériles plus boisées à mesure qu'on s'élève, et qui apparaissent roses ou bleues selon l'heure du jour et la saison. Pourtant, elle m'a été révélée un matin de printemps, alors que j'avais abordé Teniet par le Sud. et je ne crois pas que, vue pour la première fois à travers des transitions de verdure, elle me fut apparue aussi imposante, aussi belle, aussi saisissante de grâce et. de divine majesté.

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t la forêt des Cèdres

Pour la forêt de cèdres de Teniet-el-Haâd
Pour la forêt de cèdres de Teniet-el-Haâd Pour la forêt de cèdres de Teniet-el-Haâd

Teniet-el-Haâd ! Qui n'a entendu prononcer le nom du petit chef-lieu de canton algérien ? Qui n'a entendu parler de sa forêt de cèdres ? Pourtant qui la connaît ou l'imagine autrement qu'un site tout pareil à tant d'autres ? Loin de moi pourtant la pensée d'en banaliser l'aspect, et ce n'est pas pour les spéculateurs de beauté, les vandales et les amateurs de papiers gras ou de boîtes de conserves que ces lignes sont écrites.
Je m'adresse à vous qui aimez pour aimer et qui savez en toutes choses découvrir une âme. Il est des sites qui élèvent le corps et l'esprit, il semble qu'en y accédant on respire un air plus léger en même temps qu'on libère la pensée des trivialités et des servitudes sociales. Il est des grandeurs qui vous dépassent, des somptuosités qui vous écrasent, des silences qui effrayent. Ici, rien de semblable. L'imposante forêt vous enveloppe et vous charme. Elle a tout juste la fierté qu'il faut à une jolie femme pour contenir les admirateurs empressés et se faire désirer.
Sans doute est-il agréable de l'aborder par la route lumineuse et pittoresque d'Affreville, à travers ce chaos de montagnes stériles plus boisées à mesure qu'on s'élève, et qui apparaissent roses ou bleues selon l'heure du jour et la saison. Pourtant, elle m'a été révélée un matin de printemps, alors que j'avais abordé Teniet par le Sud. et je ne crois pas que, vue pour la première fois à travers des transitions de verdure, elle me fut apparue aussi imposante, aussi belle, aussi saisissante de grâce et. de divine majesté.
Le steppe aride, venant de Chellala est long à traverser. Rien, à perte de vue, sur ces Hauts-Plateaux que le " chih " et l'alfa, la masse jaunâtre et moutonnante des troupeaux paisibles, et parfois, aux abords d'un oued où coule une source bienfaisante, les vestiges d'une plantation de pins, de trembles, de peupliers ; puis les premières fermes avancées, misérables, de Zenakhra du Sersou, celles où la terre est légère, l'eau profonde et proie trop facile pour les nomades qui vont en caravane et font, à l'époque d' "achaba ", remonter vers les chaumes des colons du Tell les troupeaux faméliques du Sahara. Voici pourtant le Nahar-Ouassel et ses eaux murmurantes, des terres plus riches, des cultures verdoyantes, des fermes rapprochées, des rideaux de verdure, des vallées dont la richesse brusquement surprend, un village au nom devenu bien français et qui rappelle les temps héroïques de la Conquête : Bourbaki. Bientôt on traversera Taine, pauvre petit centre de colonisation dont le parrain serait sans doute dépaysé en pareil lieu, tout comme Victor Hugo, Hardy et même ce professeur que fut Burdeau dont on a donné les noms à des villages plus ou moins prospères de la lisière du Sersou qui regarde le bled, steppe d'immobilité et de silence. A mesure que l'on avance on procède à une lente mais sensible ascension. On monte vers le " col " (1) du Haut-Atlas Tellien et dont on découvrait naguère des plateaux la ligne sinueuse, découpée, imposante, qui barrait l'horizon et dont un doigt exercé montrait les hauts lieux : Taza-Letourneux, Teniet-el-Haâd, le massif énorme de l'Ouarsenis avec son dôme et sa grandiose architecture de cathédrale.
Mais, atteindre la petite ville pittoresque de Teniet ce n'est pas atteindre sa forêt. Hier encore il fallait utiliser le cheval et c'est toujours le moyen le plus recommandable d'aborder les cèdres dans la joie profonde de la découverte. Un chemin à peu près carrossable permet désormais au conducteur prudent d'y monter en automobile, et dominant le sol, on peut apercevoir, haut perchées sur les falaises abruptes des masses de sombre verdure aux reflets bleutés de l'acier et qui mettent la grâce de leurs découpures sur le fond indigo du ciel. Rien qu'à les regarder, on respire déjà l'air des cimes.
Il faut contourner la montagne par le Sud, quitter le chemin départemental qui conduit vers les ondulations molles des contreforts cultivés où émerge parfois le pic farouche, la falaise croulante, l'entassement aride des rochers 'gris. Voici la route forestière, une maison de garde, quelques chênes zéens, l'yeuse et des buissons de houx. L'ascension se poursuit vers les premiers cèdres clairsemés, chétifs, tourmentés. Puis, le chemin s'enfonce sous les frondaisons. Une stèle commémorative précise l'endroit où fut assassiné un agent de l'Administration des Eaux et Forêts, victime du devoir en 1902. Le peuplement de cèdres s'épaissit, les sujets sont plus vigoureux, plus imposants ; il en est, droits comme des flèches de vingt mètres qui se recourbent à leur sommet et déploient avec grâce leurs hautes branches parasols à reflets de métal. L'abîme aussi se fait plus profond, le flanc du massif s'infléchit, qu'escaladent sous nos pieds les avant-gardes de la forêt. Et la montagne nous dépasse, nous domine, mais l'enchevêtrement confus des cèdres et des chênes empêche d'en apercevoir le sommet.
Le silence devient de plus en plus lourd. Pourtant, parfois, on entend le bruit d'ailes d'un ramier nui s'enfuit, le roucoulement de palombes, le sifflet moqueur du merle, le coup de bec d'un pivert et, dans les profondeurs de la forêt, le bruit sourd des cognées ; et déjà sur nos pas, couchés en travers des pentes, nous avons rencontré de grands troncs lisses et vigoureux, fins, élancés comme des lances de joutes géantes, semblables à celles dont usèrent jadis, dans un combat de légende, Roland et Olivier se disputant la belle Aude. Les monts, sous nos yeux éblouis chevauchent les monts comme les vagues pétrifiées d'une mer en folie, et la lumière se joue sur les sommets violets, mauves et roses comme la brise à travers les aiguilles. Elle exhale en passant le bienfait de sa fraîcheur et, avec des senteurs balsamiques, les harmonies de toute la forêt. On dirait d'un concert des anges sur l'immense harpe éolienne. C'est beau !
Nous n'avons pas atteint le fond de notre émerveillement. La route est plus rude, plus étroite, dangereuse.
Un cri ! Qu'est-ce donc ? Non, le conducteur, prudent, a stoppé. Ce n'est pas de l'effroi que traduit ce cri : de l'admiration !
A nos pieds un précipice de deux cents mètres à pic. Devant nous se découvre, à nos yeux émerveillés un massif énorme qu'escaladent les cèdres. En bas, une combe : les toits rouges de chalets (la maison forestière et le refuge) à l'orée d'une clairière dans le vert tendre d'un petit champ d'orge et de blé.
Les Vosges ? L'Alpe ? La Suisse ?... L'Afrique du Nord ! L'Algérie !... On pourrait s'attendre à découvrir ici les tourelles d'un château de légende, la demeure de Merlin l'Enchanteur. Eh bien, là-bas, dans la couleur brumeuse des horizons montagnards on devinerait Médéa, Miliana accrochés aux flancs du Zaccar, Cherchell - la Césarée de l'Antiquité - la Méditerranée !... Le désert à deux pas, la dure colonisation au pied de l'autre versant. Mais non ! Ni l'Algérie, ni la Suisse, ni les Vosges, ni L'Alpe neigeuse, ni la légende nordique. Ici, est la pure nature, celle de tous les lieux magnanimes, de tous les temps magnificents. Incorporés à elle, nous ne sommes plus qu'une cellule de la forêt, que l'être du Seigneur qui nous créa avec l'insecte, l'oiseau, l'arbre et la source. Les bouches sont muettes - l'admiration vraie n'est-elle pas indicible ? - Chacun sent monter en soi comme un magnificat ! ...Et doucement l'on descend vers la combe, vers le rond-point et le col de Tighris.
Des gens, colons, commerçants israélites, rares touristes troublent la quiétude de ces lieux de repos et ne craignent pas de les profaner avec leurs éclats de rire et un phonographe qui joue des airs de jazz. Plus loin, des chefs indigènes et leurs convives - de hauts personnages européens - attendent qu'on leur apporte le " méchoui " (2) qui finit de dorer devant une braise ardente.
C'est donc en plein hiver, quand les profanes se détournent des sommets glacés et de difficile accès, quand la neige couvre les hautes branches, s'accroche aux aiguilles comme une dentelle de féerie et qu'un épais matelas en recouvre l'humus, qu'il serait bon de venir s'établir là pour des jours, avec un être aimé, dans le silence et le recueillement ; on aimerait s'inspirer de la forêt, de la pénétrer en conquérant, d'en être pénétré soi-même, de la sentir à soi, bien à soi, inviolée et superbe ! On aimerait, au refuge, jeter à brassées le bois sur le feu clair de la cheminée ou voir sur le toit et sur la neige, monter sa fumée bleue... le soir, entendre quelques beaux disques - la seule chose possible en cet endroit - quelques sanglots de violoncelle, une danse de Granados, un largo de Haendel, cette " Jeune fille aux cheveux de lin ", de Debussy ou, évoquant en pareil lieu la pompe d'un Escurial ou de Versailles, la " Pavane ", de Ravel " Pour une Infante défunte " ; laisser dans l'ombre errer sa rêverie, ou sous le rond de la lampe, sa plume sur le papier blanc, " car, selon le mot de Carlyle, c'est dans le silence que les grandes choses se forment et se concentrent. La parole est au temps, le silence à l'éternité. Les abeilles ne travaillent que dans l'obscurité, l'esprit ne travaille que dans le silence. Le mérite ne travaille que dans la solitude. " ; sentir au dehors la nuit froide et cette solitude vous envelopper, laisser plus loin son rêve, agrandir les images de l'âtre mourant ou celle de l'imagination à travers la forêt ténébreuse, et ne plus entendre, sous le ciel étoile, à travers les aiguilles et les branches, après la musique humaine, que celle des divins concerts !
Forêt !
Fuyons, fuyons ces lieux troubles du printemps à l'automne, dans la plénitude des heures de lumière, par ces gens inconscients de la beauté et qui ne demandent à la forêt que de beaux ombrages, à la montagne qu'un air léger. Eux aussi se détendent et cherchent l'oubli. Mais point à notre manière. Nous reviendrons au rond-point, dans l'hiver froid ou ce soir même, après le coucher du soleil. Peut-être à cette heure, risquerons-nous de rencontrer quelques gardiens de moutons, quelque chevrier arabes sans troupeaux (3), drapé dans le burnous, les reins sanglés d'une ceinture de cuir sur la gandourah de toile écrue, dur visage, mains caleuses, sur le bâton de cornouiller, jambes de bronze, mollets grêles, pieds nus ou chaussés du cothurne antique en peau de chèvre. L'homme passera et saluera d'un geste ou d'un mot, pressé d'aller rejoindre ses compagnons dans les herbages de plaines. Ce sera peut-être aussi quelque bûcheron berbère, austère et rude, la cognée sur l'épaule, peut-être quelque cavalier indigène égaré nous semblera-t-il, qui aura pris par quelque traverse qu'il connaît bien... le garde forestier lui-même, de sa tenue réglementaire. Ce sera tout et ce sera encore quelque chose de la forêt. Mais les visiteurs vulgaires auront fui dès les premiers symptômes du déclin de la lumière.
Égarons nous clans les rochers glissants de mousse qui surplombent les précipices, dans le fouillis des branches qu'ils recouvrent, enfonçons nos pieds dans l'humus aux flancs raides de la montagne, découvrons le sentier où nos pas plus légers nous aideront dans notre pénible, mais enivrante ascension. Humons l'odeur de la résine, le parfum délicat des fleurs printanières qu'exhale l'herbe encore humide de rosée ou de pluie : la violette humble qui se cache mais se trahit, les belles tubéreuses, les lys blancs, les lys noirs, le muguet et les marguerites à fleurs jaunes et aux larges collerettes. Elles s'inclinent sur leurs hautes tiges. Des mésanges s'envolent d'un buisson de myrte. Montons ! Le sommet n'est pas loin, le sentier devient raide. Qu'importe ! Un effort, encore. Qu'y a-t-il donc sur ce sommet ?... Le voici ! Une clairière immense tapissée de hautes herbes, de coquelicots larges comme deux mains, de grosses marguerites, de pâquerettes, de bluets.
Elle est entourée de cèdres, " ...Géants de ces hauts lieux austères où règnent le silence et l'aigle solitaire. " qui tamisent la lumière déjà oblique sur l'horizon. Et là-bas, au delà du versant Sud, dénudé, la fuite éperdue des collines brûlées, des ondulations molles du Sersou... Ici. la paix, la fraîcheur, l'abandon, l'oubli. En bas, la plénitude de l'effort, la sueur acide, le soleil ardent, la poussière et la soif. Ici, la montagne et ses bois, Alpes ou Pyrénées. Là, le Sud algérien, les Hauts-Plateaux, les steppes, le désert, comme si un séisme brutal avait englouti tout un monde entre ces deux extrêmes ! C'est en des lieux comme celui-ci que je voudrais voir élever un de ces autels dont parle Carlyle, au silence et à la solitude.
Bras croisés, sur la poitrine gonflée, je contemple cette nature orgueilleuse. Longtemps après, je descendrai lentement - à regret - par un autre sentier...
Suis-je égaré ? Non point. Des voix amies m'appellent. Pour rejoindre mes compagnons je marcherai logtemps. Voici de glands troncs. Le cœur en est mort depuis des ans ! Les vers ne l'ont point entamé. La mousse, les lichens, les chèvrefeuilles, les lierres, les grandes lianes épineuses, les recouvrent... Le " Sultan " était ici. sans doute, au cœur de ce vaste rond-point formé par l'abandon d'un cèdre gigantesque. La " Sultane " demeure, non loin, la " Sultane " que six hommes géants ne parviennent point à embrasser, la " Sultane " mutilée par la foudre et dont seul un tronçon énorme subsiste, déchiqueté et qui n'a pas moins de quinze mètres de haut !
Forêt ! Forêt !
Il te manque aujourd'hui quelque chose ; la voix énorme des grands fauves. Peut-être une rare panthère s'égare-t-elle encore quelquefois - bien rarement - sous tes frondaisons, venue des forets inaccessibles de l'Ouarsenis... Mais le lion à grande crinière, que traquait ici même, voici quatre-vingts ans, le général Margueritte alors capitaine et commandant supérieur à Teniet-el-Haàd, le lion de l'Atlas, au souffle puissant, n'est plus.
Le sanglier s'y terre-t-il ? On ne le découvre pas. Le porc-épic, peut-être, et l'hyène, amie de l'obscurité, et le chacal et le renard à poil roux...
Forêt ! Forêt des cèdres de Teniet-el-Haàd, prends-moi ! Garde-moi ! Élève moi ! ne me restitue pas à la foule anonyme, aux tracas quotidiens, aux petitesses de quelques pygmées imbéciles, dont les pensées et les actes sont à la mesure de leur taille. Ne permets pas que je descende et que je me diminue. D'ailleurs j'oublie que tout cela existe, et m'attire, et m'aspire avec la force d'un poulpe aux tentacules garnis de ventouses innombrables. Je veux oublier... ne pas descendre... Forêt défends-moi ! Garde-moi ! Et surtout, de tes ennemis - l'incendie, les troupeaux, le bûcheron, le vandale (souviens-toi de Chréa) (4) le profane sacrilège, que sais-je encore, forêt garde-toi ! (5)

René Saint-Georges.

(1) Teniet-el-Haâd signifie : le " col du dimanche ", sans doute parce que de temps immémorial les indigènes fréquentent son marché qui se tient ce jour-là.
(2) Méchoui, mouton entier que l'on fait cuire devant un feu de braise.
(3) Le parcours est interdit en forêt.
(4) Chréa : forêt de cèdres, moins grandiose que la forêt de Teniet, sur les sommets de l'Atlas hlidéen, en partie saccagée à à cause de sa proximité des villes et transformée avec si peu de goût en station d'été et de sports d'hiver.
(5) La forêt des cèdres de Teniet-el-Haâd est classée comme parc national.