Rue de Constantine/rue
Colonna d'Ornano/rue Alfred Lelluch
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Ko
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:« Suite aux travaux en cours de généalogie
et biographie de Pierre André Guimet 1820-1874 (infirmier à
l'Hôpital civil de Mustapha) et de son fils par ailleurs mon arrière
grand père maternel c'est-à-dire Alexandre Joachim Guimet
(bourrelier à la bourrellerie Bonnefoy : atelier au 107, rue de Constantine
et magasin au 23, rue de Constantine = 22, rue Colonna D'Ornano dès
1945), en consultant une série de plan d'Alger de 1875 à 1960
- (le plan de 1875 est un plan cartographique d'Alger et ses très
vastes environs avec les noms des titulaires de concessions de terres) -,
je me permets de vous communiquer ce que j'ai découvert sur l'historique
de la rue de Constantine : - De 1888 et de avant 1903, la rue de Constantine se trouvait sur le front de mer. Le n° 129 se trouvait au niveau de lentrée de lHôpital civil, plus précisément aux Poids Publics et elle débutait Place de la République - En 1935, toujours dans le même sens, cette rue fut transformée rue Sadi Carnot (tronçon) au niveau de la place du Général Sarail, rue Charras, boulevard Michelet (tronçon), boulevard Bugeaud, rue de Constantine). - En 1943 (note du Déjanté: pas d'après le plan ci-dessus), la partie restante de la rue de Constantine fut rebaptisée rue Colonel Colonna DOrnano et rue Alfred Lelluch. Grâce aux archives familiales, à vos documents et aux archives de l'État-Civil d'Outre-Mer, j'ai pu localiser les différents domiciles d'Alexandre Joachim Guimet ainsi que ses trajets domicile-travail d'une part à pied et d'autre part en tramway. Toujours grâce aux archives de l'État civil, j'ai pu reconstituer l'emploi du temps professionnel de Pierre André en tant que témoin cité dans les actes de décès et de naissance pour la période de 1858 à 1864. 0 0 0 Courrier du 22 février 2014 En 1918, avant sa mort, mon arrière-grand-père Alexandre-Joachim GUIMET travaillait dans la bourrellerie Brès ainsi que Auguste François Bonnefoy en tant que comptable.
Au 23, rue de Constantine, il y avait aussi le Café du Palmier qui devint plus tard le restaurant du Palmier puis Café de la Rotonde. En 1918, le restaurant du Palmier était déjà au 1, boulevard Bugeaud. Il fallait simplement traverser la rue ! Le Café de la Retonde sinstalla en lieu et place de lancien restaurant du Palmier à un détail près que le bâtiment du 23, rue de Constantine fut détruit pour laisser place à un bâtiment bien plus moderne de 5 étages et non de 3 étages 0 0 0 en 1880, bourrellerie Sans au 23, rue de Constantine et bourrellerie Robinot-Bertrand au 21 en 1892 Sans acheté par Robinot-Bertrand qui sinstalle au 23 ==> plus quune seule bourrellerie en 1900, bourrellerie Robinot-Bertrand au 23 et bourrellerie Brès au 22 ==> deux bourrelleries en 1922, Robinot-Bertrand acheté par Brès qui reste au 22 ==> plus quune seule bourrellerie en 1935 Brès acheté par bourrellerie Bonnefoy ==> plus quune seule bourrellerie en 1937, la rue de Constantine devint rue Colonna dOrnano en 1957, ma mère Colette (petite-fille de Alexandre-Joachim), stagiaire aux écritures chez Bonnefoy tenue par le André Alfred Bonnefoy, fils de Auguste André Bonnefoy. Alexandre-Joachim GUIMET fut le parrain de André Alfred Bonnefoy. Cest pour cette raison que la mémoire de Alexandre-Joachim GUIMET perdura dans la bourrellerie Bonnefoy 32 ans plus tard. Actuellement, il y a une maroquinerie au 22, rue des frères
Amrouche (ex rue Colonna dOrnano) |