Ben Rouilah
Ecole de plein air de Ben Rouïlah. Remise en état d'un logement de fonction.
textes extraits du bullrtin municipal, juillet 1953, n°7
mise sur site le 5-4-2008

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BATIMENTS SCOLAIRES. - Eco-le de plein air de Ben Rouïlah. Remise en état d'un logement de fonction.

M. GILLET. Adjoint. Mes chers Collègues,

Une institutrice supplémentaire a été affectée à l'école de plein air de Ben Rouïlah, cette nomination comportant pour la Ville l'obligation de loger la titulaire de ce poste dans l'appartement existant et aménagé dans une baraque vétuste.

La nouvelle institutrice, mère de famille, venue de la Métropole et logeant à l'hôtel, les Services techniques ont été invités à exécuter la remise en état de l'appartement précité.

En raison de l'urgence, des travaux de réfection sommaire ont été entrepris par le service des Bâtiments.
Cependant, ce service a établi un devis pour la réfection définitive de l'ensemble du logement.

Le montant de la dépense à engager est évalué à 540.000 francs.

Une subvention d'égale importance serait sollicitée de l'Autorité supérieure, étant entendu que les travaux précités, qui seraient confiés à l'entrepreneur de la Ville aux conditions de son contrat, ne seraient entrepris qu'une fois obtenu le subside de l'Algérie.

La dépense de 540.000 francs serait prélevée sur le crédit inscrit pour l'objet au chapitre XXXV, article 20, du B.P. de 1953.

La recette correspondante figure au chapitre XIII, article 9, du même document financier.

Avis favorable des Commissions réunies des Travaux et des Finances qui vous proposent d'autoriser l'exécution immédiate des travaux.

M. Jahan, Adjoint. - Est-ce qu'on a prévu une recette correspondante ?

M. Gillet, Adjoint. - Les travaux vont être commencés avant que le Gouvernement général fasse connaître s'il attribue une subvention. C'est ce qui a été décidé en Commission des Travaux et Finances.

M. Jahan, Adjoint. - Il n'y a donc pas de recette correspondante.

M. Gillet. Adjoint. - Il n'y en aura pas si le Gouvernement général n'apporte pas sa contribution.

M. Jacques Chevallier, Député- Maire. - Pas d'autre observation ?

Le rapport est adopté.