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              Georges Bouchet: | 
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| Comme les territoires des communes 
      voisines, celui de Douéra est triple avec au nord un plateau en pente 
      très faible vers la mer, au sud une étroite bande de plaine 
      et entre les deux un versant parcouru par de nombreux talwegs d'oueds à 
      sec durant l'été. Ce schéma se retrouve d'ailleurs 
      dans tout le Sahel oriental ainsi que dans celui de Koléa au-delà 
      de la coupure du Mazafran. · Le plateau C'est dans la commune de Douéra que ce plateau est entaillé par le ravin le plus profond, celui de l'oued Ben Amar encaissé d'une soixantaine de mètres. En fait il scinde le plateau en deux ensembles : celui de Douéra à l'est et celui de Sainte Amélie à l'ouest. Le plateau où est situé le village de Douéra est le plus régulier et le mieux mis en valeur par les colons. Il est presque entièrement couvert de vignes, tant du côté de Crescia que du côté de Baba Hassen. Celui où a été bâti le hameau de Sainte Amélie est à peine plus entamé par les branches amont de l'oued Mahelma. L'occupation des sols par la vigne a laissé un peu plus de place aux broussailles, mais guère plus. Il y a au sud de Sainte Amélie, de l'autre côté de la route de Mahelma à Saint Ferdinand un grand domaine, celui de l'haouch Scalladgi. Les altitudes sont semblables à Douéra et à Sainte Amélie : de l'ordre de 185m, et un peu plus hautes au sud de Douéra dont le " signal " est à 232m. · La plaine · Le versant |