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site le 6/04/2002
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| Ma parole, ti aurais pas compris le schmilblick
ou quoi ? Attends j'te s'blique, ma soeur, mon frère : Nouzaut' , à plus ça va, à plus qu'on est en voie de disparition... Les frankaouis y se reproduisent entre PD ... alors, ça va pas trop, d'acc ? Mais les aut' y s'multiplient comme les lapins (ceusses qui zauraient pas la myxomatose ou le VHD) ...ou comme les soutrelles qu'elles viennent du Sahara ... Alors ? Si ti veux que ti es réélu, à qui tu passes la main dans le dos ou la braguette ? A les ceusses qui sont les moins nombreux oubien à les ceusses qu'ils se multiplient à plus que les petits pains à Jisus-Christ ? Diocane, khol aïnec ! Dis, vouz'êtes conzouquoi ? Scouza il est folle pour tout, va, la trottinette ! Aïoua ! La ritmétique elle est fastoche, va ! Fais un pensement fic ton tête ! ;-))) Tchao ! @ + ;-))))) Rendez-vous sur www.orleansville.org "Informez-vous les uns les autres comme je vous ai informés...'' Je vous rappelle la pétition ''Pour le 16 Octobre, contre le 19 Mars'' à envoyer à ''petitionTORRES@meloo.com'' ''Si six scies scient six cytises, six cent-six scies scient six cent-six cytises !'' ----- Original Message ----- From: Pabarisain To: Gilbert Ibanes Cc: Jacques TORRES Sent: Saturday, April 06, 2002 4:31 AM Subject: Faux con !
-------En effet, non content
d'avoir autorisé et favorisé le projet de construction d'une
grande mosquée dans sa ville et d'accroître de cette manière
l'islamisation-colonisation de sa cité (déjà plus
de 25 % de musulmans !!!), ce pitre de la politique française vole
au secours des musulmans incapable de se mettre d'accord entre eux. Pire,
alors que derrière ces chamailles se dissimulent des luttes de
pouvoir entre islamistes, le maire, loin de mettre un terme à cette
folie, met un point d'honneur à ce que la mosquée voit tout
de même le jour. Plus collabo que ça tu meurs, plus con.....
non c'est impossible ! -------"Nous sommes en panne", regrette le conseiller municipal d'opposition Tahar Rahmani, membre du comité de pilotage sur le projet mis en place à l'été 2001 par le maire Jean-Claude Gaudin (DL). -------En juin, après des années d'atermoiements, Jean-Claude Gaudin s'était prononcé pour la construction d'un "centre cultuel et culturel islamique", à condition que les représentants de la communauté musulmane, estimée à près du quart de la population de la deuxième ville de France, surmontent leurs dissensions. -------Depuis, le comité de pilotage a multiplié les auditions --chercheurs, sociologues, imams, représentants des quartiers, associations-- avec l'optique d'arriver à un consensus avant février et la fête de l'Aïd el Kebir. -------Mais en janvier, une ultime réunion a échoué entre le Collectif d'associations musulmanes (Came) et le Conseil des imams de Marseille et environs (Cime), incapables de s'entendre sur la composition de la future association porteuse du projet |
-------Le Came, qui dit regrouper 35 associations, veut que les associations soient le socle de la structure. Il compte parmi ses membres des personnalités comme l'imam Bachir Dahmani, président de la puissante Fédération des musulmans du sud de la France, ou encore le mufti Soheib Ben Cheikh, intellectuel médiatique incarnant un islam moderne mais dont l'autorité est parfois contestée par ses coreligionnaires. -------Le Cime qui dit représenter 80 à 90% des imams de "toutes tendances et origines", dénonce "les influences en provenance d'Algérie s'exerçant sur la Fédération" de l'imam Dahmani. Il préconise une organisation basée sur l'élection de trois collèges : imams, associations et personnalités qualifiées. -------Pour le Came, cette organisation donnerait trop de poids aux imams et aux "individualités". "Un projet de cette importance ne peut pas être parrainé par des personnalités individuelles, sans attaches associatives", estime Mohamed Anouche, son secrétaire général. -------"L'un veut plus d'imams, l'autre plus d'associations et chacun se considère à égalité. Mais maintenant la communauté est exaspérée et le débat doit avoir lieu", observe Tahar Rahmani. -------Le Came souhaite que la mairie de Marseille s'engage davantage et désigne son partenaire : "il est normal qu'il y ait deux ou trois parties en lice. Pour notre part, nous accepterions que la mairie privilégie une autre structure. Mais nous n'accepterions pas un renvoi du dossier au motif que nous devons toujours être d'accord", indique Mohamed Anouche. -------"Au maire de trancher dans le vif et de désigner une équipe", renchérit Mohamed Laqhila, trésorier du Comité régional des affaires islamiques que préside Soheib Ben Cheikh. -------Le Cime n'est pas d'accord : "mieux vaut perdre plusieurs mois et asseoir le projet sur une base solide", estime son vice-président Mohamed Yassine. -------A la mairie,
on renvoie dos à dos les plaideurs auxquels on demande de s'entendre.
"Lorsque les responsables musulmans à qui j'ai demandé
de se réunir se seront mis d'accord, la municipalité donnera
le coup de pouce nécessaire", maintient le maire Jean-Claude
Gaudin, qui déclarait aussi, le 4 février, à La Provence
: "que ceux qui rêvent de mon échec ne se réjouissent
pas trop vite. Je suis persuadé que ce sera une réussite". -------------------------------------------------------------------------------- |