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site le 12/12/2002
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Bonjour, -------------------------------------------------------------------------------- Le journal de la Haute Marne Messieurs, -----------De diverses sources, notre association est alertée sur un article paru dans la page régionale de St Dizier ( N° 3104 du lundi 4 nov.02 de La haute Marne libérée ) intitulé " en souvenir de l'Algérie ", et rapportant une réunion publique d'une association algérienne locale. Cette association célèbre l'anniversaire du 1°nov.1954, début de ce qu'elle appelle la " révolution algérienne ", et l'assortit de commentaires violemment anti français. On y trouve l'affirmation surprenante suivant laquelle il y avait en Algérie à l'époque française huit millions de personnes qui vivaient misérablement: rappelons seulement, au terme de statistiques jamais contestées, que l'Algérie de l'époque était de loin le pays musulman dont le niveau de vie était le plus élevé ( pays du golfe persique et Libye exceptés ), ce que même les leaders révolutionnaires comme Nasser ont constaté et reconnu... Plus surprenant encore, on lit que très peu d'enfants algériens avaient accès à la scolarité.... mensonge absolu, si l'on considère les chiffres et surtout les résultats: tous les écrivains algériens connus depuis quarante ans sont de langue et de formation française, tous issus de l'école primaire française d'Algérie dont le travail durant la colonisation a été gigantesque. Mais ajoutons aussi que des chiffres publiés victorieusement par le Ministère algérien de l'éducation ces dernières années permettaient de comparer: Or le pourcentage d'enfants scolarisés est exactement aujourd'hui le même que du temps des français en 1960....ce qui n'apparaît pas dans le chiffre, étant la qualité de l'enseignement; et sur ce point, il suffit de savoir que les familles algériennes fortunées envoient toutes leurs enfants étudier en France ou au Canada. Les associations algériennes se voient accorder par la France le droit de raconter tout ce qu'elles souhaitent faire croire, et il est compréhensible qu'elles en usent et abusent...ce qui est moins aisé à comprendre est que des journalistes rapportent sans commentaires des énormités aussi diffamatoires . -----------Nous aimerions avoir votre point
de vue sur l'irresponsabilité de votre profession dans de semblables
cas, et nous ne doutons pas que notre protestation sera prise en compte
sous forme d'insertion en lieu etplace convenable. |