Nous venons, docteur, de
passer en revue, par le détail, les cinq stations dont l'équipement
est ou va être prêt à recevoir les malades dans
les conditions requises de confort et de technique et qui peuvent
prétendre à devenir très rapidement de belles
stations thermales hivernales. Mais n'en est-il pas d'autres dont
les eaux jouissent de propriétés curatives reconnues
et qu'il serait facile d'utiliser ?
Il en existe un très grand nombre, nous répond
le docteur Celleriec. Mais on ne peut envisager pour elles un essor
de première importance : soit à cause de leur développement
aléatoire, soit à cause de leur accès difficile.
Elles peuvent cependant rendre les plus grands services dans les
régions où elles se trouvent.
Le professeur Achard les a classées dans les deuxième
et troisième catégories (eaux d'exploitation réduite
avec ou sans hôtellerie) . Moi, je les ai appelées
des stations d'intérêt régional et d'utilité
publique.
Pouvez-vous nous en faire une nomenclature rapide ?
Très certainement.
(suite dans
l'article.)
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