La colonne Bailloud
au Fort-l'Empereur
Source: Francis
Située près de l'entrée du fort, un obélisque en ciment armée, de 50 mètres de haut, fut édifié en 1912 en hommage "aux Morts de l'Armée d'Afrique". Erigé sur l'ordre du Général Bailloud, ancien commandant du XIXe Corps d'Armée (celui de l'Algérie), et ayant pour objet de perpétuer le souvenir des morts et la gloire de l'Armée d'Afrique, celle de la conquête et de la colonisation, le monument fut inauguré le 27 octobre 1912. A la base de la colonne, étaient placés un médaillon de bronze, à l'effigie du général Bailloud, et une plaque de marbre sur laquelle apparaissait l'inscription :
DIEU ET PATRIE
A LA MEMOIRE
DES SOLDATS ET MARINS
QUI ONT VERSE LEUR SANG
SUR CETTE TERRE D'AFRIQUE
POUR Y IMPLANTER
LA JUSTICE ET LA CIVILISATION
1830 - 1912.
Cette colonne était devenue familière aux Algérois car elle était visible de très loin, mais, pendant la deuxième guerre mondiale, on dut procéder à sa destruction, pour "raisons majeures" : on craignait en effet qu'elle ne serve de repère pour les avions ennemis venant attaquer la ville. Le médaillon et la plaque de marbre furent alors remis au Musée Franchet d'Esperey.
Source: Francis
Située près de l'entrée du fort, un obélisque en ciment armée, de 50 mètres de haut, fut édifié en 1912 en hommage "aux Morts de l'Armée d'Afrique". Erigé sur l'ordre du Général Bailloud, ancien commandant du XIXe Corps d'Armée (celui de l'Algérie), et ayant pour objet de perpétuer le souvenir des morts et la gloire de l'Armée d'Afrique, celle de la conquête et de la colonisation, le monument fut inauguré le 27 octobre 1912. A la base de la colonne, étaient placés un médaillon de bronze, à l'effigie du général Bailloud, et une plaque de marbre sur laquelle apparaissait l'inscription :
DIEU ET PATRIE
A LA MEMOIRE
DES SOLDATS ET MARINS
QUI ONT VERSE LEUR SANG
SUR CETTE TERRE D'AFRIQUE
POUR Y IMPLANTER
LA JUSTICE ET LA CIVILISATION
1830 - 1912.
Cette colonne était devenue familière aux Algérois car elle était visible de très loin, mais, pendant la deuxième guerre mondiale, on dut procéder à sa destruction, pour "raisons majeures" : on craignait en effet qu'elle ne serve de repère pour les avions ennemis venant attaquer la ville. Le médaillon et la plaque de marbre furent alors remis au Musée Franchet d'Esperey.