sur site le 16-3-2003
-De Gaulle c'est qui ?
De Gaulle est un personnage qui, à travers ses subordonnés les plus importants, par les médias, pour des raisons politiques ou financières a su imposer une image de marque, une image légendaire qui pourrait n'être qu'un château de cartes si les médias aujourd'hui encore, décidaient de remettre l'histoire à l'endroit.
pnha, n°84, nov 1997
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-----De Gaulle est un personnage qui, à travers ses subordonnés les plus importants, par les médias, pour des raisons politiques ou financières a su imposer une image de marque, une image légendaire qui pourrait n'être qu'un château de cartes si les médias aujourd'hui encore, décidaient de remettre l'histoire à l'endroit. -----

-----Nombreux ont été les proches collaborateurs de De Gaulle à publier les confidences faites par ce personnage à un moment ou un autre, sur ses intentions concernant sa position sur des sujets bien définis.
-----Pourtant aucun d'eux ne peut prétendre avoir été le vrai confident. Tous réunis ne peuvent affirmer avoir reçu la même confidence sur un même sujet. Cela pour une raison bien précise, De Gaulle n'a jamais eu d'amis, aucun de ses proches collaborateurs ne peut se vanter de l'avoir été. Et qui n'a pas d'ami n'a pas de confident. Sans la rechercher, le Colonel Rémy (Gilbert Renault) l'un des premiers et plus proches de ses collaborateurs en donne une preuve.
-----"Voyez-vous Rémy il faut que la France ait deux cordes à son arc. En juin 1940 il fallait la corde Pétain et la corde De Gaulle". Et il exprimait sa surprise que Pétain ne fût pas parti pour l'Algérie en Novembre 1942, il aurait été accueilli par tous à bras ouverts "et nous mon pauvre Rémy n'aurions pas pesé bien lourd dans la balance, le Maréchal serait rentré à Paris sur son cheval blanc". Rémy ajoute qu'il eut l'impression que sans s'en rendre compte De Gaulle pensait à voix haute.
-----De Gaulle ne tenait ni ses engagements ni ses promesses. Il faut lui reconnaître une intelligence machiavélique mais aussi démoniaque dans l'utilisation des hommes "dont il disait que le meilleur ne valait pas le pire", dans les situations du moment et dans le temps, pour en tirer tous les avantages nécessaires à la réalisation de ses projets, sans pour autant avoir le moindre signe de reconnaissance pour ses bienfaiteurs et ses collaborateurs fussent-ils très proches et quelle qu'ai été l'importance de l'aide et des services rendus.
-----Le maréchal Pétain fut pour lui le chef qui l'imposa, qui le sortit de situations difficiles, l'une d'elles pouvant provoquer son expulsion de l'armée, il lui fit finir ses jours à l'île d'Yeu dans des conditions inhumaines et dégradantes.
-----En juin 1940, De Gaulle déserte, se rend à Londres, transforme sa qualité de déserteur en "Chef de la France libre" et entreprend une guerre franco-française. Ses attaques contre Mers-el-Kébir, Dakar, le Galion, la Syrie etc... etc... feront des milliers de victimes françaises.

Débarquement 1942

-----En 1942, ce sera le débarquement anglo-saxon en Afrique du Nord que De Gaulle apprendra par la radio. La réaction fut vive "on ne rentre pas en France par effraction, dit-il, j'espère qu'ils seront rejetés à la mer". La capitale de la France en guerre était Alger alors qu'il se trouvait à Londres et pratiquement sans troupes.

Un seul but le pouvoir

-----Pour De Gaulle, un seul but : le Pouvoir. Pour tous les autres combattants du simple soldat aux généraux le seul but à atteindre 'était "la victoire" et par les bases nord-africaines la libération de la France. Une guerre des chefs s'engage, De Gaulle sortira vainqueur de cette bataille.
-----l'Amiral Darlan sera assassiné
-----le Général Giraud qui avait débarqué avec les américains et qui fut à l'origine de l'équipement et l'armement moderne des soldats français par les américains sera évincé et subira une tentative d'assassinat.
-----Le général Juin commandant de l'Armée d'Afrique qui se comporta admirablement enTunisie eut le commandement du Corps expéditionnaire français en Italie, composé à 90% par l'armée d'Afrique qui fut à l'origine de la victoire du Garigliano qui permit aux armées alliées de poursuivre rapidement de victoires en victoires, vers Rome et Sienne. Il fut mis sur une voie de garage, ces victoires lui donnaient trop d'importance.

Le débarquement de Provence

-----C'est au général De Lattre de Tassigny que fut confié le commandement de la 1è armée composée elle aussi de 90% de soldats d'Afrique, qui, débarquée en Provence, poursuit ses batailles et après avoir traversé le Rhin se trouvera à Constance lorsque les Allemands demandèrent la capitulation, signée par le général De Lattre de Tassigny pour la France. On ne parlera que des Forces Française libres.
-----Le général Leclerc lui-même, dont on parle souvent qui avait été à l'honneur pour "ses aventures en Afrique" qui entra le premier dans Paris, après le capitaine Dronne, qui pouvait être considéré comme le chef de la garde prétorienne de De Gaulle, fut l'objet, non pas de sanctions, mais de brimades de la part de son chef dont il prenait une partie trop importante de sa notoriété.
-----Le général Dentz mort de froid enchaîné dans une prison. Le général de Larminat qui se suicida après avoir été désigné par De Gaulle comme Président du Tribunal d'exception.
-----D'autres encore subiront la même fin ou se retrouveront en prison.

De Gaulle victime d'un boomerang

-----Toutes ces manoeuvres ne suffisaient pas pour prendre le pouvoir en France métropolitaine où des mouvements de résistance s'étaient créés et n'étaient pas d'obédience gaulliste.
-----De Gaulle rencontrera Staline qui a été l'allié d'Hitler jusqu'à fin juin 1941, passera des accords avec lui et formera un gouvernement de Front populaire qui sur 22 membres comportera 14 ministres de gauche dont 6 du parti communiste y compris Maurice Thorez, secrétaire du PC. déserteur comme lui, qui s'était dirigé vers la Russie alors alliée de l'Allemagne.
-----Le gouvernement avait été formé en novembre 1945. En janvier 1946, mis en minorité dans ses projets, De Gaulle fut remercié et renvoyé dans ses foyers. Ce fut pour lui la traversée du désert. Il espéra une guerre russo-américaine, elle ne se fit pas. Un parti - le R.P.F. fut alors créé sur son ordre, mais les électeurs ne suivaient pas.

L'Armée d'Afrique de Weygand

-----Quelles que soient leur religion ou leur origine de 1939 à 1940, de 1942 à 1945 des centaines de milliers de Français d'Algérie engagés volontaires ou mobilisés se sont battus en Tunisie, en Corse, en Italie, en métropole et en Allemagne pour payer les erreurs de la III`- République, libérer la France et par contre-coup d'autres pays d'Europe dont l'Allemagne du joug nazi. Des dizaines de milliers d'entre eux sans parler des blessés ont payé de leur vie cet engagement.
-----Parmi eux 40 000 combattants des Forces Françaises Libres dont 50% de Pieds-Noirs volontaires ou mutés d'office pour compléter ses unités.
-----Incroyable ! parlant des incorporations en métropole, en janvier 1945, le Ministre de la Guerre André Diethelm déclarait "Notre armée actuelle est forte de 600 000 hommes. Pour l'instant il n'est question que de mobiliser à la fin du mois la classe 43. L'incorporation sera effectuée par paliers rapprochés, au printemps prochain, nous appellerons les classes 1944-1945". Rappelons à nos lecteurs que l'Allemagne a demandé la reddition, quatre mois après, le 8 mai 1945. Les incorporés par paliers de 1943 arriveront donc après la bataille !

Mise au point

-----Revenons sur ces comptes. L'armée d'Afrique comprenait 450 000 hommes, l'armée d'armistice autorisée en métropole 100 000, auxquels il faut ajouter les forces camouflées sur ordre du Général Weygand dès juin 1940 et les Corses qui se sont enrôlés, on est autour de 600 000 hommes.
-----Une question et une réponse s'imposent que je laisse au jugement des lecteurs. Chaque fois que dans la presse ou surtout dans les émissions télévisées dirigées, le sujet est commenté. S'il ne fait pas de doute que la libération a été effectuée grâce à l'intervention des alliés, personne ne le conteste, on ajoute "avec l'appui important des Forces Française Libres". Là, Non !
-----D'où venaient ces Forces ? Par qui étaient-elles composées ? Combien d'hommes comprenaient-elles ?
-----Remettons l'Histoire à l'endroit, ne sous-estimons pas l'esprit combatif de ces Forces Françaises Libres. Mais c'est elles qui étaient incorporées dans l'Armée d'Afrique.
-----Repos ! Vous pouvez disposer!

-----Dans ce dessin paru dans un quotidien italien il y a quelques dizaines d'années, Hitler dit à De Gaulle "N'oublie pas que le fait de ne pas respecter les traités n'a pas été inventé par toi !"
-----En mai 1943, Jean Monnet, qui a été le père de l'Europe et qui fit partie du premier gouvernement de De Gaulle, chargé de négociations pour aboutir à un accord Giraud-De Gaulle aurait rencontré des difficultés pour une réconciliation de ces deux personnages. Pour lui, "les positions contrastantes de De Gaulle lui rappellent le discours qu'Hitler a fait avant l'affaire tchécoslovaque. La même technique, la même forme, le même objet, les mêmes promesses illusoires". C'est ce qu'il écrit à Harry Hopkins proche conseiller du Président Roosevelt.

L'Afrique Française

-----Quand lors de la guerre de 1914 le continent africain est colonisé ou contrôlé par les pays européens, la plupart d'entre-eux tels l'Allemagne, l'Angleterre, la Belgique, l'Espagne, la France, l'Italie, la Hollande et le Portugal se retrouvent au sein du Marché Commun et se préparent à faire l'Europe.
-----Ces pays pouvaient participer à la constitution d'une "Eurafrique", une merveilleuse union bénéfique pour tous ! Pour les pays d'Europe : l'entente ; pour les pays d'Afrique : l'émancipation et pour l'ensemble le développement et la paix. -----Personne n'y pense ? Je crois surtout que, influencés par certains groupes que je qualifie de "grands marchands", les gouvernants de ces pays d'Europe ne le veulent pas ou en sont empêchés. Et cette entité ne se fait pas.

 

-----Cette idée a été relancée en 1956 par Jacques Soustelle, la presse ne l'a pas reprise, la haute finance non plus et les gouvernants encore moins. Que peut-on en conclure ?
-----Pour des raisons qui n'ont pas leur place dans ce chapitre, c'est le contraire qui se produit. De Gaulle en décide autrement aidé, encouragé par la quasi totalité des pays du monde.
-----L'Amérique, l'U.R.S.S. et la Chine, chacun d'eux pour des raisons différentes, l'un pour le commerce et l'argent les deux autres Pour l'implantation de leur idéologie.
-----L'Allemagne et l'Italie parce que privés après les deux guerres mondiales des territoires africains sous leur contrôle.
-----Tous ensemble par faiblesse ou surtout parce que ces territoires donnaient à la France une position privilégiée sur le plan géographique, commercial et notamment grâce à l'existence de différents minerais, de gaz et de pétrole.

 

Mai 1958

-----En 1958, lorsque De Gaulle revient au pouvoir dans un fauteuil confortable par un tour de "passe-passe" dont il est coutumier, au nom de l'Algérie française, l'une de ses premières grandes décisions sera la décolonisation des territoires d'Afrique française y compris les départements d'Algérie. Si pour les territoires d'Afrique noire la décolonisation s'est effectuée sans heurt, peut-on dire que ce fut un plein succès ? En effet trente ans après ces pays s'enfoncent chaque jour davantage dans la misère, la mortalité, l'instabilité politique et dans des guerres tribales. Entre autres preuves, récentes, un écrit paru dans le journal "Le Monde" du 27 mars 1990 de Roland, Pierre Paringaux. "En effet, écrit-il, c'est à partir des années 60 que le déficit alimentaire s'est creusé en Afrique et que malnutrition et pénurie, jusqu'alors exceptionnelles se sont multipliées pour devenir ici ou là, quasi endémiques, la faim chronique et le chômage sapent la productivité".
-----Déjà dans les années 60 René Dumont grand partisan de la décolonisation avait écrit "L'Afrique est mal partie".

Algérie

-----Il n'en fut pas de même pour les départements d'Algérie, celle-ci n'étant ni une colonie, ni un protectorat mais un territoire de même nature juridique que la métropole et composée de départements français au même titre que l'Ain, la Seine ou l'Yonne. La majeure partie de ses habitants, quelles que soient leur croyance, leur confession ou leur religion ne voulait pas de l'indépendance réclamée les armes à la main par quelques centaines de terroristes d'origine arabe, aidés par des porteurs de valises de la métropole.
-----Des terroristes qui n'hésitent pas à commettre des actes odieux, s'en prenant particulièrement à leurs coreligionnaires qui dans une grande majorité sont opposés à l'indépendance.
Bébés et jeunes filles empalés, les femmes violées, éventrées et égorgées, les hommes lapidés, émasculés, égorgés et dépecés, les yeux crevés, des corps mutilés à la hache. Il n'est pas de mots pour qualifier de tels comportements. L'incroyable sauvagerie de ces actes condamnés par la presse nationale et internationale, de gauche comme de droite ou les paroles "massacres, boucherie, dégoût, sauvagerie, animaux attirés par l'odeur du sang, carnages, mutilations horribles", reviennent sans cesse pour qualifier ces actes commis avec bestialité par les "fellaghas" nom donné aux terroristes arabes.
-----Le régime a changé mais nous le lisons et nous l'entendons tous les jours à la radio et à la télévision les mêmes atrocités se produisent encore aujourd'hui, les hommes n'ont pas changé ils sont et resteront les mêmes.

La Trahison

-----Malgré les engagements pris en 1958 pour arriver au pouvoir par voie d'actions et de décisions successives De Gaulle fera de l'Algérie française une Algérie indépendante en passant par l'association, l'interdépendance et l'indépendance à temps déterminé. Finalement cette indépendance sera immédiate totale, y compris l'abandon des importantes bases militaires de Colomb-Béchar et de Mers-el-Kébir et
compte non tenu de centaines de milliards versés pendant des années aux gouvernants algériens pour les remercier sans doute d'avoir bouté ces français qu'ils détestaient hors de ces départements. En effet, De Gaulle n'avait pas pardonné aux habitants de l'Algérie qui, dans leur grande majorité avaient été Pétainistes. Lui, ce déserteur de 1940, n'avait pas pardonné non plus le fait d'avoir dû payer pour faire déserter, en 1943, des militaires de l'Armée régulière déjà engagés dans la guerre, pour renforcer sa division F.F.L.. qui, sans cela n'aurait eu aucune raison d'exister.
-----A cette époque il avait également poursuivi ses actions de vengeance contre l'amiral Darlan, le général Giraud, le Général Dentz etc... etc... et surtout le maréchal Pétain.
-----Pour lui .mettre fin à l'Algérie française c'était l'aboutissement de ses plans. Pour l'aider dans cette tâche il prit comme premier Ministre celui qui s'était comporté comme le "champion de l'Algérie française", Michel Debré, qui avait déclaré "l'abandon de la souveraineté française en Algérie est un acte illégitime qui met ceux qui s'en rendent coupables "hors la loi" et ceux qui s'y opposent, quels que soient les moyens employés, en état de légitime défense". -----Hélas ! l'Algérie était déçue, celui qui était venu prendre le pouvoir qu'Alger lui avait offert, avait trahi. Son champion de premier Ministre avait trahi lui aussi, avalant très facilement ses engagements. Ainsi, les rôles étaient inversés, les "hors-la-loi" n'étaient plus De Gaulle et ses compères mais ceux qui étaient en état de légitime défense.

Les victimes de l'Algérie française

-----Les défenseurs de l'Algérie française amis ou pas qui devaient payer quel qu'en soit le prix leur volonté de conserver cette Algérie terre de France construite aux prix de sacrifices de toutes sortes, la sueur, le sang, la maladie, la mort. Ce territoire inculte fut défriché cultivé, construit par des soldats français et des immigrés d'origines européennes. Habitations, moyens de communication de toutes sortes, centrales hydro-électriques et thermiques, barrages, hôpitaux, écoles, facultés, ports, aéroports, etc... etc...
-----On peut affirmer sans craindre la contradiction que rien n'a été fait en France métropolitaine dans le même temps - 120 ans - avec pourtant des moyens plus appropriés et en toute sécurité. Cette Algérie qui avait servi de base pour la libération de la France, ses habitants qui s'étaient battus pour cela en 1870, en 1914/1918, en 1939/1945. Tout cela devait être laissé par la volonté d'un seul homme, De Gaulle et pour y parvenir utiliser ses moyens habituels. Ce fut : les barbouzes et les tortures, le bouclage et le mitraillage de Bab-el-Oued.
-----Le massacre du 26 mars qui fit des centaines de victimes des blessés souvent achevés, le massacre le 5 juillet 1962 à Oran de milliers d'hommes et de femmes et d'enfants sans que l'armée sous le commandement du général Katz n'intervienne, sur ordre de De Gaulle. Ce fut l'assassinat de Degueldre, Piegts, Dovecar et BastienThiry, l'exécution de chefs fellaghas venus à Paris demander "l'aman".
-----Ce fut le massacre dans des conditions connues de centaines de milliers de musulmans français dont les "harkis" qui s'étaient toujours battus pour la France, qui trahis, furent refoulés de France qui aujourd'hui reçoit ses assassins.
-----Ce fut et c'est encore des milliers de disparus prisonniers ou enlevés et pour lesquels, c'est inadmissible, rien n'a été fait. Si beaucoup d'entre eux ont été exécutés d'autres sont encore en vie, si l'on peut dire car ils préféreraient être morts. Les gouvernants de l'époque avaient les moyens d'intervenir pour libérer la plupart d'entre eux.
-----Moyens diplomatiques, financiers et, pourquoi ne pas le dire par la force. En ne le faisant pas ne se sont-ils pas rendus complices des égorgeurs ? Comment ne pas penser à ces disparus, comment ne pas les plaindre eux et leurs familles. Comment ne pas haïr ceux qui de gauche ou de, droite, les porteurs de valises, pour avoir directement ou indirectement donné aide et assistance aux ravisseurs et aux égorgeurs ceux qui savaient qui pouvaient et qui n'ont rien fait ! C'est aussi le million de transplantés dans les conditions où ils l'ont été et la façon dont ils ont été reçus .

Conclusions

-----Aussi bien pour l'Europe que pour l'Afrique, la décolonisation dans les conditions où elle a été réalisée est un échec complet.
L'Afrique se meurt, si les mesures ne sont pas rapidement établies et appliquées pour un ordre nouveau, dans un accord commun. De Gaulle pourra trouver sa place dans le livre de Fernand Destaing "Le pouvoir et la folie".

Roger d'Hostie