-----De Gaulle
est un personnage qui, à travers ses subordonnés les plus
importants, par les médias, pour des raisons politiques ou financières
a su imposer une image de marque, une image légendaire qui pourrait
n'être qu'un château de cartes si les médias aujourd'hui
encore, décidaient de remettre l'histoire à l'endroit. -----
-----Nombreux ont
été les proches collaborateurs de De Gaulle à publier
les confidences faites par ce personnage à un moment ou un autre,
sur ses intentions concernant sa position sur des sujets bien définis.
-----Pourtant aucun d'eux ne peut prétendre
avoir été le vrai confident. Tous réunis ne peuvent
affirmer avoir reçu la même confidence sur un même
sujet. Cela pour une raison bien précise, De Gaulle n'a jamais
eu d'amis, aucun de ses proches collaborateurs ne peut se vanter de l'avoir
été. Et qui n'a pas d'ami n'a pas de confident. Sans la
rechercher, le Colonel Rémy (Gilbert Renault) l'un des premiers
et plus proches de ses collaborateurs en donne une preuve.
-----"Voyez-vous
Rémy il faut que la France ait deux cordes à son arc. En
juin 1940 il fallait la corde Pétain et la corde De Gaulle".
Et il exprimait sa surprise que Pétain ne fût pas parti pour
l'Algérie en Novembre 1942, il aurait été accueilli
par tous à bras ouverts "et nous
mon pauvre Rémy n'aurions pas pesé bien lourd dans la balance,
le Maréchal serait rentré à Paris sur son cheval
blanc". Rémy ajoute qu'il eut l'impression que
sans s'en rendre compte De Gaulle pensait à voix haute.
-----De Gaulle ne tenait ni ses engagements
ni ses promesses. Il faut lui reconnaître une intelligence machiavélique
mais aussi démoniaque dans l'utilisation des hommes "dont
il disait que le meilleur ne valait pas le pire", dans les situations
du moment et dans le temps, pour en tirer tous les avantages nécessaires
à la réalisation de ses projets, sans pour autant avoir
le moindre signe de reconnaissance pour ses bienfaiteurs et ses collaborateurs
fussent-ils très proches et quelle qu'ai été l'importance
de l'aide et des services rendus.
-----Le maréchal Pétain fut
pour lui le chef qui l'imposa, qui le sortit de situations difficiles,
l'une d'elles pouvant provoquer son expulsion de l'armée, il lui
fit finir ses jours à l'île d'Yeu dans des conditions inhumaines
et dégradantes.
-----En juin 1940, De Gaulle déserte,
se rend à Londres, transforme sa qualité de déserteur
en "Chef de la France libre" et entreprend une guerre franco-française.
Ses attaques contre Mers-el-Kébir, Dakar, le Galion, la Syrie etc...
etc... feront des milliers de victimes françaises.
Débarquement
1942
-----En 1942, ce
sera le débarquement anglo-saxon en Afrique du Nord que De Gaulle
apprendra par la radio. La réaction fut vive "on
ne rentre pas en France par effraction, dit-il, j'espère qu'ils
seront rejetés à la mer". La capitale de
la France en guerre était Alger alors qu'il se trouvait à
Londres et pratiquement sans troupes.
Un seul but le
pouvoir
-----Pour De Gaulle,
un seul but : le Pouvoir. Pour tous les autres combattants du simple soldat
aux généraux le seul but à atteindre 'était
"la victoire" et par les bases nord-africaines la libération
de la France. Une guerre des chefs s'engage, De Gaulle sortira vainqueur
de cette bataille.
-----l'Amiral Darlan sera assassiné
-----le Général Giraud
qui avait débarqué avec les américains et qui fut
à l'origine de l'équipement et l'armement moderne des soldats
français par les américains sera évincé et
subira une tentative d'assassinat.
-----Le général Juin commandant
de l'Armée d'Afrique qui se comporta admirablement enTunisie
eut le commandement du Corps expéditionnaire français en
Italie, composé à 90% par l'armée d'Afrique qui fut
à l'origine de la victoire du Garigliano qui permit aux armées
alliées de poursuivre rapidement de victoires en victoires, vers
Rome et Sienne. Il fut mis sur une voie de garage, ces victoires lui donnaient
trop d'importance.
Le débarquement
de Provence
-----C'est au général
De Lattre de Tassigny que fut confié le commandement de
la 1è armée composée elle aussi de 90% de soldats
d'Afrique, qui, débarquée en Provence, poursuit ses batailles
et après avoir traversé le Rhin se trouvera à Constance
lorsque les Allemands demandèrent la capitulation, signée
par le général De Lattre de Tassigny pour la France. On
ne parlera que des Forces Française libres.
-----Le général Leclerc
lui-même, dont on parle souvent qui avait été
à l'honneur pour "ses aventures en
Afrique" qui entra le premier dans Paris, après
le capitaine Dronne, qui pouvait être considéré comme
le chef de la garde prétorienne de De Gaulle, fut l'objet, non
pas de sanctions, mais de brimades de la part de son chef dont il prenait
une partie trop importante de sa notoriété.
-----Le général Dentz mort
de froid enchaîné dans une prison. Le général
de Larminat qui se suicida après avoir été désigné
par De Gaulle comme Président du Tribunal d'exception.
-----D'autres encore subiront la même
fin ou se retrouveront en prison.
De Gaulle victime
d'un boomerang
-----Toutes ces
manoeuvres ne suffisaient pas pour prendre le pouvoir en France métropolitaine
où des mouvements de résistance s'étaient créés
et n'étaient pas d'obédience gaulliste.
-----De Gaulle rencontrera Staline qui a
été l'allié d'Hitler jusqu'à fin juin 1941,
passera des accords avec lui et formera un gouvernement de Front populaire
qui sur 22 membres comportera 14 ministres de gauche dont 6 du parti communiste
y compris Maurice Thorez, secrétaire du PC. déserteur comme
lui, qui s'était dirigé vers la Russie alors alliée
de l'Allemagne.
-----Le gouvernement avait été
formé en novembre 1945. En janvier 1946, mis en minorité
dans ses projets, De Gaulle fut remercié et renvoyé dans
ses foyers. Ce fut pour lui la traversée du désert. Il espéra
une guerre russo-américaine, elle ne se fit pas. Un parti - le
R.P.F. fut alors créé sur son ordre, mais les électeurs
ne suivaient pas.
L'Armée
d'Afrique de Weygand
-----Quelles
que soient leur religion ou leur origine de 1939 à 1940, de 1942
à 1945 des centaines de milliers de Français d'Algérie
engagés volontaires ou mobilisés se sont battus en Tunisie,
en Corse, en Italie, en métropole et en Allemagne pour payer les
erreurs de la III`- République, libérer la France et par
contre-coup d'autres pays d'Europe dont l'Allemagne du joug nazi. Des
dizaines de milliers d'entre eux sans parler des blessés ont payé
de leur vie cet engagement.
-----Parmi eux 40 000 combattants des Forces
Françaises Libres dont 50% de Pieds-Noirs volontaires ou mutés
d'office pour compléter ses unités.
-----Incroyable ! parlant des incorporations
en métropole, en janvier 1945, le Ministre de la Guerre André
Diethelm déclarait "Notre armée
actuelle est forte de 600 000 hommes. Pour l'instant il n'est question
que de mobiliser à la fin du mois la classe 43. L'incorporation
sera effectuée par paliers rapprochés, au printemps prochain,
nous appellerons les classes 1944-1945". Rappelons à
nos lecteurs que l'Allemagne a demandé la reddition, quatre mois
après, le 8 mai 1945. Les incorporés par paliers de 1943
arriveront donc après la bataille !
Mise au point
-----Revenons
sur ces comptes. L'armée d'Afrique comprenait 450 000 hommes, l'armée
d'armistice autorisée en métropole 100 000, auxquels il
faut ajouter les forces camouflées sur ordre du Général
Weygand dès juin 1940 et les Corses qui se sont enrôlés,
on est autour de 600 000 hommes.
-----Une question et une réponse s'imposent
que je laisse au jugement des lecteurs. Chaque fois que dans la presse
ou surtout dans les émissions télévisées dirigées,
le sujet est commenté. S'il ne fait pas de doute que la libération
a été effectuée grâce à l'intervention
des alliés, personne ne le conteste, on ajoute "avec l'appui
important des Forces Française Libres". Là, Non !
-----D'où venaient ces Forces ? Par
qui étaient-elles composées ? Combien d'hommes comprenaient-elles
?
-----Remettons l'Histoire à l'endroit,
ne sous-estimons pas l'esprit combatif de ces Forces Françaises
Libres. Mais c'est elles qui étaient incorporées dans l'Armée
d'Afrique.
-----Repos ! Vous pouvez disposer!
-----Dans ce dessin
paru dans un quotidien italien il y a quelques dizaines d'années,
Hitler dit à De Gaulle "N'oublie
pas que le fait de ne pas respecter les traités n'a pas été
inventé par toi !"
-----En mai 1943, Jean Monnet, qui a été
le père de l'Europe et qui fit partie du premier gouvernement de
De Gaulle, chargé de négociations pour aboutir à
un accord Giraud-De Gaulle aurait rencontré des difficultés
pour une réconciliation de ces deux personnages. Pour lui, "les
positions contrastantes de De Gaulle lui rappellent le discours qu'Hitler
a fait avant l'affaire tchécoslovaque. La même technique,
la même forme, le même objet, les mêmes promesses illusoires".
C'est ce qu'il écrit à Harry Hopkins proche conseiller du
Président Roosevelt.
L'Afrique Française
-----Quand lors
de la guerre de 1914 le continent africain est colonisé ou contrôlé
par les pays européens, la plupart d'entre-eux tels l'Allemagne,
l'Angleterre, la Belgique, l'Espagne, la France, l'Italie, la Hollande
et le Portugal se retrouvent au sein du Marché Commun et se préparent
à faire l'Europe.
-----Ces pays pouvaient participer à
la constitution d'une "Eurafrique", une merveilleuse union bénéfique
pour tous ! Pour les pays d'Europe : l'entente ; pour les pays d'Afrique
: l'émancipation et pour l'ensemble le développement et
la paix. -----Personne n'y pense ? Je crois
surtout que, influencés par certains groupes que je qualifie de
"grands marchands", les gouvernants de ces pays d'Europe ne
le veulent pas ou en sont empêchés. Et cette entité
ne se fait pas.
|
|
-----Cette idée a
été relancée en 1956 par Jacques Soustelle, la presse
ne l'a pas reprise, la haute finance non plus et les gouvernants encore
moins. Que peut-on en conclure ?
-----Pour des raisons qui n'ont pas leur
place dans ce chapitre, c'est le contraire qui se produit. De Gaulle en
décide autrement aidé, encouragé par la quasi totalité
des pays du monde.
-----L'Amérique, l'U.R.S.S. et la
Chine, chacun d'eux pour des raisons différentes, l'un pour le
commerce et l'argent les deux autres Pour l'implantation de leur idéologie.
-----L'Allemagne et l'Italie parce que privés
après les deux guerres mondiales des territoires africains sous
leur contrôle.
-----Tous ensemble par faiblesse ou surtout
parce que ces territoires donnaient à la France une position privilégiée
sur le plan géographique, commercial et notamment grâce à
l'existence de différents minerais, de gaz et de pétrole.
Mai 1958
-----En 1958, lorsque
De Gaulle revient au pouvoir dans un fauteuil confortable par un tour
de "passe-passe" dont il est coutumier, au nom de l'Algérie
française, l'une de ses premières grandes décisions
sera la décolonisation des territoires d'Afrique française
y compris les départements d'Algérie. Si pour les territoires
d'Afrique noire la décolonisation s'est effectuée sans heurt,
peut-on dire que ce fut un plein succès ? En effet trente ans après
ces pays s'enfoncent chaque jour davantage dans la misère, la mortalité,
l'instabilité politique et dans des guerres tribales. Entre autres
preuves, récentes, un écrit paru dans le journal "Le
Monde" du 27 mars 1990 de Roland, Pierre Paringaux. "En
effet, écrit-il, c'est à partir des années 60 que
le déficit alimentaire s'est creusé en Afrique et que malnutrition
et pénurie, jusqu'alors exceptionnelles se sont multipliées
pour devenir ici ou là, quasi endémiques, la faim chronique
et le chômage sapent la productivité".
-----Déjà dans les années
60 René Dumont grand partisan de la décolonisation avait
écrit "L'Afrique est mal partie".
Algérie
-----Il n'en fut pas de même
pour les départements d'Algérie, celle-ci n'étant
ni une colonie, ni un protectorat mais un territoire de même nature
juridique que la métropole et composée de départements
français au même titre que l'Ain, la Seine ou l'Yonne. La
majeure partie de ses habitants, quelles que soient leur croyance, leur
confession ou leur religion ne voulait pas de l'indépendance
réclamée les armes à la main par quelques centaines
de terroristes d'origine arabe, aidés par des porteurs de valises
de la métropole.
-----Des terroristes
qui n'hésitent pas à commettre des actes odieux, s'en prenant
particulièrement à leurs coreligionnaires qui dans une grande
majorité sont opposés à l'indépendance.
Bébés et jeunes filles empalés, les femmes violées,
éventrées et égorgées, les hommes lapidés,
émasculés, égorgés et dépecés,
les yeux crevés, des corps mutilés à la hache. Il
n'est pas de mots pour qualifier de tels comportements. L'incroyable sauvagerie
de ces actes condamnés par la presse nationale et internationale,
de gauche comme de droite ou les paroles "massacres, boucherie, dégoût,
sauvagerie, animaux attirés par l'odeur du sang, carnages, mutilations
horribles", reviennent sans cesse pour qualifier ces actes commis
avec bestialité par les "fellaghas" nom donné
aux terroristes arabes.
-----Le régime
a changé mais nous le lisons et nous l'entendons tous les jours
à la radio et à la télévision les mêmes
atrocités se produisent encore aujourd'hui, les hommes n'ont pas
changé ils sont et resteront les mêmes.
La Trahison
-----Malgré les engagements
pris en 1958 pour arriver au pouvoir par voie d'actions et de décisions
successives De Gaulle fera de l'Algérie française une Algérie
indépendante en passant par l'association, l'interdépendance
et l'indépendance à temps déterminé. Finalement
cette indépendance sera immédiate totale, y compris l'abandon
des importantes bases militaires de Colomb-Béchar et de Mers-el-Kébir
et
compte non tenu de centaines de milliards versés pendant des années
aux gouvernants algériens pour les remercier sans doute d'avoir
bouté ces français qu'ils détestaient hors de ces
départements. En effet, De Gaulle n'avait pas pardonné aux
habitants de l'Algérie qui, dans leur grande majorité avaient
été Pétainistes. Lui, ce déserteur de 1940,
n'avait pas pardonné non plus le fait d'avoir dû payer pour
faire déserter, en 1943, des militaires de l'Armée régulière
déjà engagés dans la guerre, pour renforcer sa division
F.F.L.. qui, sans cela n'aurait eu aucune raison d'exister.
-----A cette époque
il avait également poursuivi ses actions de vengeance contre l'amiral
Darlan, le général Giraud, le Général Dentz
etc... etc... et surtout le maréchal Pétain.
-----Pour lui .mettre
fin à l'Algérie française c'était l'aboutissement
de ses plans. Pour l'aider dans cette tâche il prit comme premier
Ministre celui qui s'était comporté comme le "champion
de l'Algérie française", Michel Debré,
qui avait déclaré "l'abandon
de la souveraineté française en Algérie est un acte
illégitime qui met ceux qui s'en rendent coupables "hors la
loi" et ceux qui s'y opposent, quels que soient les moyens employés,
en état de légitime défense". -----Hélas
! l'Algérie était déçue, celui qui était
venu prendre le pouvoir qu'Alger lui avait offert, avait trahi. Son champion
de premier Ministre avait trahi lui aussi, avalant très facilement
ses engagements. Ainsi, les rôles étaient inversés,
les "hors-la-loi" n'étaient plus De Gaulle et ses compères
mais ceux qui étaient en état de légitime défense.
Les victimes de
l'Algérie française
-----Les défenseurs
de l'Algérie française amis ou pas qui devaient payer quel
qu'en soit le prix leur volonté de conserver cette Algérie
terre de France construite aux prix de sacrifices de toutes sortes, la
sueur, le sang, la maladie, la mort. Ce territoire inculte fut défriché
cultivé, construit par des soldats français et des immigrés
d'origines européennes. Habitations, moyens de communication de
toutes sortes, centrales hydro-électriques et thermiques, barrages,
hôpitaux, écoles, facultés, ports, aéroports,
etc... etc...
-----On peut affirmer
sans craindre la contradiction que rien n'a été fait en
France métropolitaine dans le même temps - 120 ans - avec
pourtant des moyens plus appropriés et en toute sécurité.
Cette Algérie qui avait servi de base pour la libération
de la France, ses habitants qui s'étaient battus pour cela en 1870,
en 1914/1918, en 1939/1945. Tout cela devait être laissé
par la volonté d'un seul homme, De Gaulle et pour y parvenir utiliser
ses moyens habituels. Ce fut : les barbouzes et les tortures, le bouclage
et le mitraillage de Bab-el-Oued.
-----Le massacre du
26 mars qui fit des centaines de victimes des blessés souvent achevés,
le massacre le 5 juillet 1962 à Oran de milliers d'hommes et de
femmes et d'enfants sans que l'armée sous le commandement du général
Katz n'intervienne, sur ordre de De Gaulle. Ce fut l'assassinat de Degueldre,
Piegts, Dovecar et BastienThiry, l'exécution de chefs fellaghas
venus à Paris demander "l'aman".
-----Ce fut le massacre
dans des conditions connues de centaines de milliers de musulmans français
dont les "harkis" qui s'étaient toujours battus pour
la France, qui trahis, furent refoulés de France qui aujourd'hui
reçoit ses assassins.
-----Ce fut et c'est
encore des milliers de disparus prisonniers ou enlevés et pour
lesquels, c'est inadmissible, rien n'a été fait. Si beaucoup
d'entre eux ont été exécutés d'autres sont
encore en vie, si l'on peut dire car ils préféreraient être
morts. Les gouvernants de l'époque avaient les moyens d'intervenir
pour libérer la plupart d'entre eux.
-----Moyens diplomatiques,
financiers et, pourquoi ne pas le dire par la force. En ne le faisant
pas ne se sont-ils pas rendus complices des égorgeurs ? Comment
ne pas penser à ces disparus, comment ne pas les plaindre eux et
leurs familles. Comment ne pas haïr ceux qui de gauche ou de, droite,
les porteurs de valises, pour avoir directement ou indirectement donné
aide et assistance aux ravisseurs et aux égorgeurs ceux qui savaient
qui pouvaient et qui n'ont rien fait ! C'est aussi le million de transplantés
dans les conditions où ils l'ont été et la façon
dont ils ont été reçus .
Conclusions
-----Aussi bien pour l'Europe
que pour l'Afrique, la décolonisation dans les conditions où
elle a été réalisée est un échec complet.
L'Afrique se meurt, si les mesures ne sont pas rapidement établies
et appliquées pour un ordre nouveau, dans un accord commun. De
Gaulle pourra trouver sa place dans le livre de Fernand Destaing "Le
pouvoir et la folie".
Roger d'Hostie
|