C'est entendu. Les Marseillais
revendiquent Fernand Bouisson. En prétendant qu'il est des
leurs 100 pour 100, ils ont apparemment raison.
Tenter de les détromper serait une faute. Tout au contraire,
la sincérité de leur conviction vient confirmer une
des particularités de la thèse qui s'est affirmée
tout au long de cette enquête, à savoir, les remarquable
dons d'adaptation des Algériens.
Les registres de l'état-civil de la mairie de Constantine
ne peuvent pas être recusés. Ils affirment que Fernand
Bouisson, fils de Paul, minotier, 10, rue de Philippeville, a vu
le jour, dans cette ville, le 16 juin 1874. La « route »,
comme il se devait, a changé de nom après la guerre.
Elle s'appelle aujourd'hui la « rue du 11-Novembre »,
mais la maison des Bouisson, presque centenaire, a conservé
son aspect et les touristes réussissent à se faire....
( suite dans l'article.)
PLUS.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Fernand_Bouisson
http://archives.gouvernement.fr/villepin/acteurs/premier_ministre/histoire_chefs_gouvernement_28/fernand_bouisson_277/index.html
Industriel. Rejoint la SFIO en 1909. Député des Bouches
du Rhône (1909-1940). Commissaire aux transports maritimes
et marine marchande (1918-1919). Président de la Chambre
des Députés (1927-1935). Il vote les pleins pouvoirs
au Maréchal Pétain et se retire de la politique.
http://enenvor.fr/eeo_actu/entredeuxguerres/un_gouvernement_de_trois_jours.html
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