Aux Échos
d'Alger
Éditoriaux de l'année 2010 dernière mise à jour : 31-12-2010 |
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ÉCHOS D'ALGER ÉDITORIAL de mars 2010 numéro 108 |
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ÉCHOS D'ALGER ÉDITORIAL de juin 2010 numéro 109 |
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ÉCHOS D'ALGER ÉDITORIAL de septembre 2010 numéro
110 |
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ÉCHOS D'ALGER ÉDITORIAL de décembre
2010 n° 111 Si l'on parlait du bénévolat! Chaque année pour l'Assemblée Générale de votre Amicale, afin de maintenir l'intérêt d'une collaboration pour mener aussi loin que l'on pourra Notre Communauté, nous demandons aux bonnes volontés de se manifester pour une représentation dans un département ou une région. Cette année pour l'exercice 2010, l'Assemblée a accepté que Mr Georges POQUET soit la personne qui prendrait en charge avec l'aval et l'encadrement du Conseil d'Administration National, comme le stipule le Règlement Intérieur, le département des Landes et des Pyrénées - Atlantiques. Mal nous en a pris, puisque ce monsieur, après la mise en place et l'organisation de deux repas, a senti l'aubaine de faire cavalier seul pour ne plus être tributaire de consignes et de règles obligatoires à respecter. Il n'aura pas fallu plus de six mois pour que cette personne dévoile ses intentions car, grâce au tremplin important représenté par l'Amicale et à la confiance que nous lui portions, il n'a pas tardé à créé une association pour laquelle d'emblée, il signale ses intentions écrites : «J'ai besoin de votre cotisation avant la fin de l'année 2011, pour financer : papier, encre, photocopies,... en voyez-moi votre chèque avant le 15 décembre 2010 ». Ce comportement choquant et tout à fait inattendu, aurait du nous décourager, mais non ! Il nous permet de constater, une fois de plus, combien l'intérêt personnel prime non seulement au détriment de la morale, mais surtout d'une Histoire et d'un Passé communs. Nous essayons toujours de protéger et de défendre « les nôtres » mais certains en valent-ils la peine ? Il y en a pour preuve cette histoire vécue par un couple de nos amis de passage à Montpellier, pris par hasard dans un mouvement de foule (il l'a su après, c'était une réunion électorale) s'est vu traiter de colonialiste et d'exploiteur du peuple algérien.... Devinez par qui ? Par un Pieds - Noirs d'ALGER!!! Comme dans la fameuse fable, il y a partout de vilains petits canards ! Et si l'on parlait...du dernier trimestre très riche en histoire de dénigrement et d'insultes en tous genres. Dans le désordre - La prison - en Algérie - pour atteinte au drapeau « symbole de la Nation », alors qu'en France on ferme les yeux sur les attaques dont est victime le nôtre, - le compte-rendu très synthétisé et combien provocateur rédigé au venin, par un journaliste d'un quotidien régional, sur la tenue du congrès des Cercles Algérianistes à Béziers, - les grèves et manifestations pour - soi-disant - la loi sur les retraites, qui ont montré une fois de plus, qu'il n'y avait pas que des gens nobles dans la rue, mais aussi des casseurs mettant en place doucement mais sûrement, les prémices d'une guerre civile, - le remaniement ministériel où est constaté, pour nous, l'absence de tout interlocuteur pour les problèmes non résolus, les films financés par la France et écrits contre la France, les documentaires sur les agissements, les mensonges et l'état d'esprit de De Gaulle et l'Algérie qui ont confirmé ce qu'était cet homme, - « La guerre d'Algérie » et le dernier tabou de Mittérand, l'Algérie actuelle et les chrétiens, l'assassinat des moines de Tibéhirine, - la France actuelle et les musulmans, les kermesses organisées et dans certaines villes, les affiches électroniques pour les fêtes du ramadan, - le dernier sacrilège tenu secret pendant des années où l'on a découvert que le cimetière Harki de Pujol de Bosc, avait été vendu et revendu comme terrain cultivable dans lequel on a osait faire des plantations, parmi les tombes, - les paroissiens attaqués, des tombes et des églises saccagés voir même brûlées... ... Et j'en passe ! « Impuissants » nous ne faisons que constater ! Alors bougeons et espérons Ne gâchons pas ce début d'année 2011 avec ces constats et ceux qui ne vont pas manquer d'arriver. Francette MENDOZA - haut de page |