-Éditoriaux de l'année 1986

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AUX ÉCHOS D'ALGER ÉDITORIAL DE NOVEMBRE 1986 N°16

Vingt-cinq ans de notre vie se sont passés dans l'Hexagone... Le courrier que nous recevons laisse à penser que notre Communauté est en pleine mutation et se cherche. Un nombre incalculable d'associations, d'amicales, de groupements de quartiers, de villages, sportives, culturelles, de jeunes, de moins jeunes, se créent. De plus en plus, nous éprouvons le besoin de nous retrouver. Serait-ce un signe de vieillissement - qui nous fait chercher nos racines, comme tout être humain - ou tout simplement le besoin de se sentir compris, puisque entre nous, nous parlons le même langage?

Vingt-cinq ans... Combien de vies se sont faites et défaites; combien notre drame a touché de familles? Toussaint, pour tous est synonyme de recueillement devant la tombe d'un être cher. En vingt-cinq ans, nous avons tous vu partir des êtres chers ensevelis par la terre de France, et lorsque nous allons sur leur tombe, c'est à " eux" ~, là-bas, que nous pensons.

Mme Francette MENDOSA.

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AUX ECHOS D'ALGER JUILLET 1986 N°15

ADIEU! Monsieur Alain de SERIGNY... Les Echos d'Alger " se devaient, dans leur modeste bulletin, de vous saluer.
L'ECHO d'ALGER - dont vous étiez le GRAND PATRON - résonnait différemment, il y a longtemps.., faisant passer tour à tour -comme tous les quotidiens - les joies, les peines, dans "notre" Algérie " heureuse" ou... "malade>.
Après s'être tu, parce qu'on l'avait fait taire, " L'Echo d'Alger " est une fois de plus en deuil: le GRAND HOMME - fidèle à ses engagements dans toutes les situations - nous a quittés.
"Les Echos d'A lger ", souvenirs (c'est tout ce qui nous reste) - n'oublieront pas le GRAND FRANÇAIS que vous étiez.

Mme Francette MENDOSA-TORRES.

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