Après recherches , le gouverneur général de cette époque était M. Maurice Violette, à l’origine de l’arrêté du 3 mars 1925 étant en poste de de 1925 à 1927 dont j’ai relevé une fragmentation de son argumentaire sur des extraits de la Bibliothèque Nationale

«... A vrai dire, nous ne sommes pas au cœur de l'éducation morale. Plus encore que pour les garçons on souhaiterait un régime le plus voisin possible de la famille française. Précisément dans cet esprit a été tenté un essai très intéressant au Lycée de J. F. d'Alger. Les sept pavillons, qui à Mustapha-Supérieur s'ouvrent ou vont s'ouvrir, permettent de faire vivre les élèves dans d'excellentes conditions matérielles et de s'occuper d'une façon plus effective de leur éducation. Dans chaque pavillon, organisé comme une maison, des élèves sont groupées par âge et on essaie de former leur gout et de leur apprendre à utiliser intelligemment leurs loisirs, en faisant de chaque pavillon une manière de joie familial.

L'éducation physique est reçue presque partout avec empressement et donnée, par un personnel dévoué avec des moyens variables qui dépendent de l'installation et du terrain. Aucun internat n'est assurément aussi favorisé que Mustapha-Supérieur. »