ALGER
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NOUS étouffons ! « Nous sommes à l'étroit ! Nous ne pouvons travailler comme nous le voudrions ! En une semaine, je n'ai pu assister qu'à trois cours ! Pas assez grands les amphithéâtres et les laboratoires ! L'Université d'Alger meurt de congestion... » La place nous manquerait si nous relations toutes les doléances des professeurs et des étudiants des facultés. En bon curieux, nous avons tenu à vérifier ces plaintes. Nous aussi nous avons voulu étouffer ! Un peu à la manière de nos futurs médecins, pharmaciens, avocats. Pour établir un « test », nous avons choisi la Faculté de médecine et de pharmacie. Et nous nous sommes subrepticement intégré dans la cohorte des étudiants qui fréquentent les salles d'anatomie et de médecine opératoire. Eh bien, foi de journaliste, les carabins, qui ont souvent le goût de la farce et de l'exagération n'ont pas menti. (suite dans l'article.) |
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