Aux Échos d'Alger
Éditoriaux de l'année 2015
dernière mise à jour : mai 2015

26 Ko
retour
 
éditorial mars 2015
éditorial juin 2015
éditorial septembre 2015
éditorial décembre 2015

-AUX ÉCHOS D'ALGER ÉDITORIAL de mars 2015 numéro 128

« Je suis Charlie », « je suis juif »,
« je suis musulman », « je suis chrétien », « je suis athée »...

Ne me demandez pas si « Je suis Charlie » ! Je ne le suis pas. Pour l'avoir vécu au sein de ma famille le 15 mars 2012, je ne peux accepter l'assassinat d'innocents. Au nom d'une religion. Contre les militaires, les policiers, les catholiques, les juifs,... Contre la France ...
Mais je ne peux être Charlie pour autant.
« Je suis Française ». « Je suis Française d'Algérie ». « Je suis Pieds-Noirs ».

La journée du 11 janvier a enchanté le gouvernement, les politiques, les médias... par la forte participation de rue. Tant mieux. Belle image !
Certains ont qualifié cette marche << de moutons suivant des bergers (!) »
Pourquoi a-t-il fallu que des journalistes soient tués pour que la « classe » politique réagisse ?
Les victimes de l'Hyper Casher, n'étaient pas journalistes. La jeune policière n'était pas... journaliste.
Les gardes du corps n'étaient pas journalistes.
Mais toutes les victimes ont eu un même dénominateur « Je suis Charlie ».

Une certaine presse a été touchée. Pas toute la presse. Mais tous les journalistes se sont sentis concernés.
On le comprend.
Le problème ne se trouve pas dans la liberté de la presse, puisque l'on sait que la presse écrite ou parlée est largement censurée pour une catégorie de français.
Le problème est ailleurs, mais l'on se voile la face.

Le monde avance. Normal, nous sommes au XXlème siècle. La France fait le crabe ou l'autruche - comme l'on veut - cherchant toujours une excuse pour accepter tout et là, les journaleux s'en donnent à coeur joie pour défendre ce qui démolit le pays et ses valeurs, avec les politiques pour tuteurs :
- les textes de chansons où policiers, familles, français tout cours... sont insultés, menacés, violentés, violés, démontrés comme des « sous-chiens » non « souchiens », à exterminer,
- Les victimes qui deviennent « soupçonnées, inculpées,
condamnées » parce qu'on aura trouvé des circonstances atténuantes aux pôvres autres « les armes à la main ».
- Les vacances scolaires qui étaient calquées sur les fêtes religieuses chrétiennes, ne seront plus : vacances de Pâques ou de Noel, mais vacances de printemps, vacances d'hiver.
- Interdiction et plainte contre Claude BARZOTTI, le chanteur qui a osé écrire ce qu'il pensait.
- Interdiction pour Pierre PERRET de chanter « La femme grillagée » dans laquelle il dénonce l'avilissement de la femme...
- Certificat de coutume à fournir pour le dossier mariages, lorsque l'un des deux conjoints n'est pas musulman. Par ce biais, il le devient.
- Pas de crèche de Noel dans les lieux publics... etc... etc...

L'ancien ministre de l'Education nationale, qui malgré son cours passage, a, en parlant de la religion catholique jeté cette analyse « le catholicisme est incompatible avec la liberté, contrairement à l'islam ››.
Ou encore le ministre de l'intérieur actuel qui cite « évoquer les racines de la France, c'est faire une relecture historique frelatée qui a rendu la France peu à peu nauséeuse ».
Les CATHOLIQUES gênent-ils ?
Pourquoi doit-on mélanger origine et religion ? Nationalité et religion ?

Après tout ce qui s'est malheureusement passé le 7 janvier, une question se pose à moi, à nous Français d'Algérie, exilés, déracinés, déconsidérés encore aujourd'hui... avons-nous eu des manifestations d'une telle ampleur pour dire non au terrorisme, non aux assassinats, non aux enlèvements ? Jamais.
Nous avions surtout un gouvernement et des français qui nous abandonnaient. Qui voulaient nous jeter à la mer. Alors que, des bateaux entiers arrivent actuellement, déversant certainement de pauvres miséreux voulant trouver l'eldorado qu'est la France, mais qui ne sont et ne seront jamais français. Et encore moins insérés...

Nous, nous n'avions pas des dirigeants de pays étrangers. à nos côtés pour nous défendre.

Et pourtant le 13 mai 1958, nous avons tellement espéré !

Nous étions et sommes toujours seuls.

Francette MENDOZA


AUX ÉCHOS D'ALGER ÉDITORIAL de juin 2015 numéro 129
L'Histoire est un éterne recommencement...
C'est vrai ! Encore que l'Histoire ancienne soit revisitée par nos « historiens » d'aujourd'hui ... Seraient-ils plus crédibles ? Recherche d'ADN, exhumation... pour quoi ? Pour avoir leur nom dans une encyclopédie ?
L'Histoire restera-t-elle un éternel recommencement dans ce monde où l'on doute de tout ?

Est-ce cette médiatisation à outrance qui donne cette impression de saturation et de déformation d'informations ?
Oui et non... Et je ne suis pas normande !

Nous avons l'impression que les journalistes - pour mériter leur salaire - doivent parler ; très souvent pas d'une même voix : que vous écoutiez ou regardiez telle ou telle radio ou chaîne de télévision, les informations varient... C'est " à celui qui dit vrai, qui détient le meilleur scoop ».

Pourtant leur avenir est assuré. Ils ont du pain sur la planche avec tous les scandales : compte à l'étranger, sommes faramineuses en espèces pour règlement de factures, doubles vies étalées, abus de confiance, fausses factures, fausses déclarations, délinquance dans quelques familles de nos dirigeants avec emprisonnements, statistiques falsifiées pour donner le change, quartiers de non droit, trafics en tous genres, favoritisme dans le placement des copains dans les hautes sphères et, par ricochet, dans les entreprises, chicaïas dans les partis politiques, ...
Mais on prend les mêmes et on... continue ! Et la bouche en coeur, les yeux dans les yeux, l'on jure haut et fort que l'on a « confiance en la Justice de mon pays ! ». Que :« je démissionne pour mieux assurer ma défense !
Bel exemple ?

Tout est basé sur le mensonge, le culot, l'ambition et surtout l'argent. Avec en plus, en prime, la haine déversée sur ceux qui ne pensent pas comme eux. Pensée unique.

Ils - politiques ou journalistes - argumentent avec un fil conducteur qu'ils ne doivent pas lâcher, fermant les yeux quand ça les arrange. Dans ce monde de perversité en tous genres, " croyez-vous que l'on vous croit ? ».

Mais avons-nous le choix ? Nous sommes dans une dictature, loin d'être démocratique ».

Nous sommes dans un grand cirque où Monsieur Loyal tient son rôle à merveille : il fait fureur dans son beau costume (un peu étriqué) et amuse ou contrarie l'assemblée de spectateurs avec ses annonces, ses promesses.
" C'est « Moa » qui mène les artistes! J'ai été choisi pour présenter" les différents numéros » ( ?). J'ai donc le droit de ne pas vous montrer ma vraie personnalité. Je suis un artiste !... »

Et les citoyens que nous sommes constatent qu'il n'a de l'artiste que le nom pas la classe. Ils voient l'évolution de la délinquance, des problèmes liés à la vie quotidienne...

Eglises et cimetières profanés : là, la presse est muette...

Ils n'osent sortir le soir, par crainte d'être attaqués. Ils sont obligés de faire le dos rond devant beaucoup de choses : aux caisses dans les grands magasins, en voiture (ne pas klaxonner si une voiture gêne) ; à l'école (à Nîmes, une école avait choisi de fêter Monsieur Carnaval le vendredi Saint (?) à ... 6 semaines du Carnaval) ; à la cantine, un collège nîmois refusait de servir aux catholiques, qui en faisaient la demande (le règlement de la cantine laissant pourtant la possibilité de choix entre deux plats), le plat de poisson ; prétexte invoqué : un collège laïc n'a pas à prendre en compte la religion des élèves (sic); dans le milieu hospitalier (où lorsqu'un non Chrétien décède (à 5 H 30 du matin), dans la minute qui suit, le chef religieux doit être prévenu... tout juste dix minutes sont passées, lorsqu'une infirmière- une femme (!) de surcroît -a reçu toutes les insultes et menaces pour ce laps de temps écoulés), etc...

Et pendant ce temps, Monsieur Loyal, le clown blanc, l'auguste - ou les augustes et les augustines! - continuent à vouloir laisser des traces de leur passage : réformes à tour de bras, réformes sur tout, santé, éducation nationale, travail, retraite, famille, ... la panthéonisation de quatre résistants » dont deux femmes! Et quelles femmes ? L'une, résistante mais surtout militante pour l'indépendance de l'Algérie. Pierre Brossolette, résistant radical, qui s'est suicidé ???... et le top ! Jean Zay, qui haïssait le drapeau français " Ce drapeau qui était, pour lui, de la race des torche-c... et ces morts « Morts pour cette saloperie tricolore et pourtant, son cercueil était recouvert de ce torche-.... Quelle dignité !

L'Association de Soutien à l'Armée Française avait proposé un militaire en remplacement de cet anti français...mais !

Peut-on espérer que dans le futur, d'autres RESISTANTS reposeront au Panthéon : ceux de l'Algérie Française, ceux passés au peloton d'exécution, assassinés sous les ordres d'un général 2 étoiles (!), ceux qui voulaient garder à la France toute sa grandeur, non pas celle des collabos... ceux des militaires qui n'ont pas failli pour l'honneur de la parole donnée...

Mais non, ne rêvons pas, la France est dans le parjure et n'honore que ses ennemis : ceux du 19 mars, ceux qui ont enlevé, violé, torturé, égorgé... des français d'Algérie civils, militaires, harkis, parce qu'ils ont cru en elle ... ceux qui interdisent les crèches, les arbres de Noël, ceux qui ont le droit de poser se torchant avec le drapeau français, ceux qui par leur présence, le 8 mai dernier à Sétif, « honoraient ce massacre perpétré par la France,... bien sûr ! », ceux des chefs FLN emprisonnés pendant la guerre d'Algérie à Fort Liédot, de 1959 à 1961, sur l'île d'Aix en Charente-Maritime et qui auront une stèle de 2 m de hauteur, pour honorer leur passage en ce lieu (!), grâce à la municipalité...

Le maire de Béziers, est sans cesse mis à l'index pour ses prises de position, ses actions, le « comptage » de sa population ; mais il n'y a pas que lui, puisque le nouveau Secrétaire d'Etat chargé des anciens combattants et des rapatriés, a fait passer un dossier afin de répertorier les anciens combattants, les rapatriés et les harkis, en détail, le nombre d'adhérents dans les associations spécifiques...

A-t-il eu la presse pour contester cette pratique ? Non bien sûr!
Heureusement que cette démarche n'a pas été suivie.

Dans ses discours, Aimé Césaire écrivait : « Une civilisation qui s'avère incapable de résoudre les problèmes que suscite son fonctionnement, est une civilisation décadente » et « Une civilisation qui choisit de fermer les yeux à ses problèmes les plus cruciaux, est une civilisation atteinte »... L'un ou l'autre de ces constats est édifiant. Passez un très bon été.
Francette MENDOZA

haut de page

haut de page

AUX ÉCHOS D'ALGER ÉDITORIAL de septembre 2015 numéro 130

L' été est encore là mais . comme tout va très vite dans quelques jours, c'est la rentrée officielle.

Rentrée scolaire. Rentrée associative Rentrée sociale. Rentrée politique Rentrée parlementaire...

On attend la rentrée. Tout semble s'êtn arrêté durant ces deux mois d'été. Enfin presque tout!

Sauf :
- Les augmentations récurrentes e sans appel, sous le couvert d'uni loi qui nous oblige,
- Les éleveurs, les agriculteurs qui son dans la rue pour défendre leur métie bradé sur l'autel de l'argent pour eux mais pas pour toutes ces combine: et filières qui les écrasent...
- Les hôteliers, les restaurateurs, le: campings, les agences de voyages.. qui font déjà le triste bilan au dessous de leurs espérances.. Les consommateurs regardent ai plus près leur porte-monnaie. Pou eux la rentrée n'est pas significative de rentrée financière, donc pa: économique.
- Et puis, plus important, les laisse pour compte, ceux qui n'ont pas le: moyens de s'offrir des vacances et qi. sont obligés de manifester en silence chez eux!
Avec leurs problèmes situation financière précaire, santé solitude, isolement...
Pour eux, aucune rentrée. La vie continue.

Par contre, il y a une rentrée qui ni prend pas ses quartiers d'été puisque sa porte est toujours et de plus en plus grande ouverte, ce sont ces vacanciers qui se permettent la traversée du pays voire de plusieurs, sans bourse déliée Quelle aubaine !

Les associations dites caritatives, droits de l'hommiste, etc, etc... connaissent les filières pour les aider.

On dépêche même des bateaux pour récupérer ces personnes en souffrance, pour ne pas qu'il y ait de naufragés. On les plaint, les pauvres ! Ils sont persécutés dans leur pays.

Rien à dire à cela, mais simplement rappeler qu'en 1962, nous étions persécutés. Mais on ne nous a pas programmé le même régime. Un certain maire voulait faire couler les bateaux au milieu de la Méditerranée, pour être sûr qu'il n'y ait pas de survivant ; bateaux qui nous amenaient d'Algérie vers ce que nous appelions la Métropole. La Mère Patrie !

Quelle différence dans l'accueil ! Quelle ingratitude à notre égard, pour nous, Français d'Algérie! Pas clandestins. Papiers en règle. Sans double nationalité. Sans valise. Ou pour quelques uns, une valise.

Notre chance a été d'être en vie! Avec nos bras et nos manches retroussées pour nous remettre en état de marche.

Face à une adversité et à un rejet qui n'avaient rien de solidaire.

Ce n'était pas notre rentrée, mais notre exode. Il n'y avait pas de Don Quichotte, pas d'hôtels réquisitionnés, pas de sentiments, ... pour ces profiteurs de colonialistes.

Ce n'est pas être passéiste que de se rappeler, ce que d'autres appellent, les mauvais souvenirs.

Et ce tract fait partie des souvenirs du plus grand mensonge d'Etat :
FRANÇAIS D'ALGERIE
• Vous qui avez souffert,
• Vous qui avez vécu dans la colère et la peur,
• Vous que la France n'a pas abandonné dans la guerre
Comment pouvez-vous croire que dans la paix la France puisse vous abandonner ?
Cette paix pour laquelle elle a lutté
Cela s'appelle : vos garanties
Cela s'appelle : vos droits
Cela s'appelle : votre dignité
Ensemble, nous nous sommes battus, Ensemble, solidaires les uns des autres, Construisons la paix !
Français d'Algérie, vous êtes Français pour toujours, désarmez vos coeurs et vos esprits !
Avec votre travail, votre courage, la France à vos côtés, vous allez gagner cette dernière bataille
Celle de la paix
Celle de l'avenir


Aucun engagement n'a été tenu. Aujourd'hui ces propos seraient attaqués par les traumatisés de la colonisation qui sont grassement installés chez les colonisateurs. Le monde à l'envers.

A l'heure de la communication très rapide, des évènements qui le sont tout autant, on ne peut qu'avoir une certaine crainte. Ne soyez pas patriote, c'est pire ! Vous êtes catalogués, épiés, surveillés, traités d'extrême. Aucune loi ne vous protège.

Comme nous le faisons depuis toujours, les Enfants de l'Algérois ont préparé leur rentrée avec pour leitmotiv
« Tu seras fidèle aux tiens »
Ce qu'on ne pourra pas nous reprocher.

Francette MENDOZ

haut de page

haut de page

AUX ÉCHOS D'ALGER ÉDITORIAL de décembre 2015 n° 131

Le premier qui dit la vérité... devra être exécuté... chantait Guy BEART. Alors, pour ne pas être exécuté, on la falsifie cette vérité; on la manipule... Comprenne qui pourra.
Migrants ? Réfugiés ? Exode ? Calais, etc...
Attention aux mots que nous utilisons. Les plaintes ne sont pas loin.
Où est la liberté de parole?

L'invasion n'est pas le fait d'une migration anarchique et certainement organisée dans tous les sens du terme, non, non... attendrissons-nous ; c'est un renouveau. N'avons-nous pas entendu à la télévision, que les français ont fait moins d'enfants que l'année précédente...
Ils se rattraperont et seront plus grands avec les nouvelles naissances.

N'a-t-on pas entendu de certains hommes ou femmes de science - mais sans conscience - que la France avait bien accueilli, en 1962, plus d'un million de rapatriés, qui s'étaient bien intégrés et pour certains, étaient même devenus français...

Ce n'est pas la liberté de parole ou des comparaisons à quatre sous, c'est de la falsification de l'histoire.

Plus de 53 ans après, nous sommes toujours le mauvais exemple, la grosse pierre dans la chaussure.

Nous avons été référencés Rapatriés, complètement impropre à notre condition puisque la population fuyant la guerre en Algérie, était française, vivait donc, dans des départements français et rentrait dans ce qu'ils appelaient leur « Mère Patrie » (?)

Exilés, déplacés aurait été plus approprié. Nous n'étions pas des migrants ou des réfugiés. Nous avons préféré la valise pour rentrer chez nous (!) plutôt que le cercueil, car nous étions et sommes français.

Il faut dire ci, il faut dire ça... disent nos détracteurs. Jusqu'où veulent-ils aller ?
Le Capitaine Marcel RONDA vient de s'en aller. Ne lit-on pas dans sa biographie sur internet : né à Alger, issu d'une famille favorable au Général Franco et au Maréchal Pétain. Et de rajouter qu'il est : l'un des principaux émeutiers avec Pierre Lagaillarde et Jo Ortiz de la semaine des barricades à Alger. Donc un assassin. Pas un résistant. Nuance !

La couleur de peau. Race ? Pas race ? Où va-t-on ?
N'avons-nous pas appris à l'école que :
les indiens étaient des peaux rouges, donc de race rouge
- les africains avaient la peau noire, donc de race noire
- les asiatiques avaient la peau jaune, donc de race jaune
- le reste avait la peau blanche, donc de race blanche
Ce n'est pas faire de la ségrégation. Pourquoi des personnes seraient offusquées si l'on parle de leur couleur de peau, alors que, blanc, nous avons tous les qualificatifs que la décence m'interdit de prononcer.

Fais pas ci, fais pas ça... chante Jacques DUTRONC.
Dis pas ci, dis pas ça...
Un rendez-vous dans les jardins du Luxembourg déplacé : média intervieweur et religieuse interviewée, persona non grata. Des vérités pas bonnes à entendre et qui circulent sur internet...

Fête pas ci, fête pas ça.
.. ne s'adresse pas aux élus puisqu'ils ont le pouvoir.
Aussi, le jour de Toussaint, la gauche était unie à Bagnolet pour fêter les 60 ans de l'insurrection algérienne en plus de chaque 19 mars. Entre autres villes.

Manges pas ci, manges pas ça... disent les chercheurs et les médias...
Abattoir, souffrance des animaux... n'y aurait-il pas autre chose ?
Pas de viande : rouge (cancer du colon), de porc, de la charcuterie (cancer), ... Quand je pense à nos ancêtres qui tuaient et transformaient un à deux porcs chaque année, pour vivre ! Ils faisaient la cochonade. C'était jour de fête et de retrouvailles en famille et entre amis.
La nourriture des animaux à l'époque était saine. On ne peut en dire autant aujourd'hui, car la rentabilité, donc l'argent, prime.

Tous ces interdits, toutes ces directives, ne feront pas oublier que dans quelques jours Noël est là.

Cette fête est synonyme de partage, d'amour, de réunion de famille, le tout accompagné d'une belle crèche préparée par les plus petits pour la transmission, et d'une bonne table.

Avec des spécialités de chez nous. Bien sûr !

Mes voeux vous accompagnent pour que cette fin d'année soit heureuse pour vous tous et que l'année 2016 soit remplie de bonnes choses et surtout de SANTE.
Une forte pensée va vers mes compatriotes et amis dans la solitude.
Francette MENDOZA

Une suite malheureuse à l'éditorial.
Triste mois de novembre où 130 personnes ont perdu la vie au nom d'une idéologie sanguinaire...
« Tout le monde n'est pas beau, tout le monde n'est pas gentil » aurait pu chanter Jean YANNE.
Après les morts, les disparitions, les épreuves de la guerre d'Algérie, la famille de Robert RUIZ pleure son fils Raphaël assassiné au Bataclan.
Plutôt que toutes ces interdictions pour abêtir et diriger l'Homme, pourquoi ne pas être plus efficace dans sa protection physique ? Car des loups rôdent.
Francette MENDOZA

- haut de page