Aux Échos d'Alger
Éditoriaux de l'année 2013
dernière mise à jour : août 2013

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-AUX ÉCHOS D'ALGER ÉDITORIAL de mars 2013 numéro 120

19 mars (revu par le Sénat). Voyage en Algérie (pour Moi président). Reconnaissance pas repentance (c'est la même chose). L'Algérie d'aujourd'hui vu par un farouche indépendantiste. Mariage pour tous M. PMA et GPA (non, ce ne sont pas des sigles de sociétés anonymes). Semaine scolaire de quatre jours et demi (nous en avions cinq, sommes-nous morts ? Nos enseignants l'étaient par vocation et avec des classes de 50 élèves). Mali après l'Afghanistan. Retrait de la Légion d'Honneur. Viande chevaline contre viande bovine. Démission du Pape. " Femhaines "....

Et si je restais au lit pour ne plus rien voir, ne plus rien entendre ! Non, je n'ai pas le droit !
Pourquoi ? Parce que j'ai une famille qui compte beaucoup, celle du sang, ma " Tribu " comme je la nomme, mais aussi le Conseil d'administration qui m'épaule depuis de très nombreuses années, et puis celle que vous représentez pour moi tous les Enfants de l'Algérois ou d'ailleurs ", avec qui tant de liens se sont tissés. Vous êtes mon réconfort, vous me boostez " comme disent les jeunes. Vous êtes aussi MA FAMILLE.

Donc, je ne vais pas baisser les bras. Sauf...
Donc, je reste debout, pour et avec vous tous, afin de faire entendre encore notre voix.
Celle d'un peuple d'exilés qui a trop courbé l'échine en arrivant en 1962, et que les autres qualifiaient pourtant de Grande gueule ". Etait-elle aussi grande ? Avions-nous le droit de l'ouvrir seulement ? Pas du tout. Avec l'accueil que nous avons eu !
Nous devions nous insérer, trouver du travail, un logement, faire vivre dignement notre famille, sans avoir recours à toutes ces aides actuelles.
Notre accent trahissait nos origines et la caricature était vite faite. Pas de manifestations de rue, des revendications dans le calme, pas de lois pour nous défendre... et c'est pour cette raison sûrement que nous en sommes là !

Malgré notre joie de vivre, nous sommes un peuple aigri qui en a marre des coups, des mensonges, des interdits, des lois scélérates, d'une basse considération, des soi-disant méfaits de la colonisation, (de repentance voilée), de la richesse de l'indépendance dépeinte, d'une manière outrancière par un ancien commissaire politique FLN qui ose s'exprimer ces jours-ci devant un journaliste français, en disant que les Algériens ont été plus intelligents que les Français, car pour passer de 9 à 37 millions, il fallait être solide. Ils ont construit six millions de logements, six millions de routes, cinquante ports quand la France se contentait de deux, un système éducatif de bon niveau... Il faut que la France demande pardon à l'Algérie...

Ce monsieur est-il sûr que tous les algériens sont en Algérie ? Ont- ils des lois sociales qui permettent à leurs sujets de ne pas sortir du territoire ? Quelles difficultés ont-ils traversées pour passer de 9 à 37 millions, pour un peuple qui n'a pas de difficultés dans ce domaine ! Quelle solidité fallait-il ?
Ils sont certainement plus intelligents que les Français qui ont tendance à accueillir tous les ennemis d'hier - et d'aujourd'hui ! - en les faisant bénéficier de larges avantages...
Six millions de logements. Six millions de routes. Ce chiffre semble porter bonheur. Cinquante ports ! Vous rendez-vous compte ! Pour des pastéras sûrement? Où sont-ils ces ports ? Ce n'est pas l'impression que peuvent avoir les touristes voulant revoir leurs souvenirs.

L'Histoire de France est à terre. Et encore plus celle de sa présence en Algérie.

Notre société évolue comme toutes les sociétés ; elle est en recherche. De quoi ? Nous ne savons pas.
Alors, elle fait n'importe quoi ; elle démolit ses valeurs, sa famille, sa morale, son civisme, sa foi...

Elle ne recule devant rien prenant en otage des enfants qu'elle entraîne dans les manifestations.

Elle retire la Légion d'honneur à l'un qui est Français d'Algérie ancien combattant, mais la donne à d'autres qui n'ont rien fait d'honorifique pour la France qui les a accueillis et qui les fait vivre. Bien au contraire !

Très belle idée l'Europe ! Mais vaste trafic aussi, alors que nos éleveurs sont en difficultés, avec obligation d'appliquer un quota décidé par Bruxelles, sous prétexte du marché européen, on achète ailleurs.

Les finances. Il n'y a que cela qui prime au détriment de l'être humain et de l'économie locale.

BENOIT XVI démissionne... au lieu de saluer le courage que lui vaut cette décision, eh ! bien, les femhaines " vont manifester leur joie, nues et... dans une église. Pas dans une mosquée. Pas dans une synagogue. Les politiques, la presse et les associations spécifiques s'en seraient vite emparées criant au sacrilège, portant plainte, invoquant les droits de je ne sais quoi....
Par leur attitude, ces femmes se rendent-elles compte de l'image qu'elles renvoient à la jeunesse, sinon que celle d'une image qui ne se respecte même pas ?

Ne pensez surtout pas que je sois pessimiste, mais nous tous qui avons été à bonne école là-bas, grâce à nos familles, à nos enseignants, nous avons appris la valeur de la famille, le respect, le civisme que nous avons transmis à notre tour à nos enfants, petits-enfants.... Tout cela semble tellement désuet aujourd'hui. Il faut garder l'espoir d'une prise de conscience.

Francette MENDOZA


AUX ÉCHOS D'ALGER ÉDITORIAL de juin 2013 numéro 121

Mauvais temps. Climat désastreux. Printemps pluvieux. Là, nous n'y pouvons rien, mais nous pestons.
Environnement calamiteux. Morale au plus bas. Politique mensongère. Pays en récession. Société qui n'a plus d'éthique, plus de civisme, plus de respect. Mais plus de dettes, plus de mondialisme, moins de frontières. Nous pestons aussi, mais peut-être pas assez ! Nous subissons.

Je ne vais pas rependre la litanie habituelle, nous vivons la même situation.
Mais cela fait du bien d'en parler. Enfin, si l'on peut ne pas être... entendu...
Vous avez constaté que nous sommes dans un pays où la pensée doit être unique. Aussi méfions-nous " des oreilles qui traînent ".
Il paraît pourtant que nous sommes dans un pays démocratique ! Ah, bon ! Pour qui ???
Il faut m'aider car je ne sais plus...

On vous traite de sale blanc, de sale Français, de... restons polis : gardons le sourire.
On brûle votre voiture, votre outil de travail : gardons le sourire.
On vous cambriole, on vous agresse, on vous viole... gardons le sourire.
On tue au nom de SA loi, de SON Dieu... gardons le sourire. On bafoue et ironise l'église catholique, on frappe ses représentants... prions... et gardons le sourire.
On vous annonce les yeux dans les yeux " qu'on n'a pas de compte à l'étranger... gardons le sourire.
Après tout, c'est peut-être vous qui l'avez cherché ! Et on va vous le prouver.

Nous avons un mauvais rictus aux commissures des lèvres à force de garder le sourire.
Pas de loi qui nous protège, pas de déplacement de ministre, pas de prise de position suivie d'effets, mais de grands effets devant les médias, du bla...bla. Des enquêtes où vous n'êtes plus victime mais coupable ; des dossiers constitués ou pas; des plaintes enregistrées ou pas; des personnes que l'on couvre lorsqu'elles sont connues et vous restez impuissant devant tant de laxisme; ne nous évadons surtout pas sur le domaine Français d'Algérie, parce que là, c'est la catastrophe.

Voilà le pays où nous vivons. Voilà la France. Elle n'est pas la France que nous aimions lorsque nous étions là-bas. La France avec son drapeau BLEU - BLANC - ROUGE que l'on respectait. Elle est devenue un pays où chacun a apporté ses us et coutumes, au point de voir flotter d'autres drapeaux que le sien lors de certaines manifestations... de voir sa physionomie transformée, ses lois allant à contre sens de la morale.
Plus besoin de prendre l'avion, faire des milliers de kilomètres pour changer d'air, pour découvrir. Nous avons tout à nos portes. Plus besoin de compagnies aériennes ou de navigations, nous donnons sur place l'argent de nos projets au travers des impôts.
La France où il ne fait pas bon d'être Français et surtout patriote, car vous êtes systématiquement étiqueté d'extrême droite. Le mauvais Français quoi ! Pas large d'esprit...
La France, qui depuis toujours, a été plus empressée avec ses ennemis qu'avec les siens.
Ingratitude diraient certains parce qu'elle sait que ses enfants l'aiment et ne sont pas rancuniers envers leur Mère Patrie... Abandon organisé et bien sûr voulu, diraient d'autres. Paraît-il pour son enrichissement.

De nombreuses régions de France perpétuent leurs coutumes au travers de leur langue, leurs danses, leurs chants. Bien entendu, l'image qu'elles donnent pour leurs détracteurs est différente : conservatisme, régression, ringardise... Impensable au 3è millénaire !!!
Quand aura-t-on compris que la France c'est aussi et surtout cela ! Elle a un passé qui ne débute pas avec l'abandon des départements Français ou des territoires où elle a donné son savoir-faire et sa richesse en construisant, soignant, instruisant,...La France, grande, belle, généreuse, disions-nous.
Cette belle époque qui la mettait en valeur dans le monde, où la langue Française était synonyme d'enrichissement et de savoir, est bien révolue. Maintenant, même si elle a encore ses inconditionnels, d'autres langues priment comme l'anglais, pour le commerce, l'espagnol, pour les pays hispanophones, et comme un enrichissement en vaut bien un autre, des cours sont dispensés en langue arabe. Les enfants d'une classe de 6è d'un lycée privé de Nîmes, ont assisté à une projection d'un film en langue arabe et sous-titré " WADJDA ", premier film d'une femme d'Arabie Saoudite, qui ouvre d'après les critiques, le 7è art qu'est le cinéma, en Arabie Saoudite ???
C'est paraît-il, en forgeant que l'on devient forgeron. Il en faudrait des soufflets pour le fonctionnement de ces forges qui s'ouvrent.

Francette MENDOZA

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AUX ÉCHOS D'ALGER ÉDITORIAL de septembre 2013 numéro 122

je ne vais pas revenir sur les faits divers - et très variés - que nous avons vécus - et vivrons certainement encore - puisque dans les propos" semés à tout vent... ", non pas par le LAROUSSE !, mais tenus par les politiques et les médias, la situation n'est pas catastrophique !

Pour mieux imager mes propos, je ne peux m'empêcher de reprendre le savoureux billet de Philippe BOUVARD ayant pour titre " Les spécialistes " : «C'est donc à l'issue d'une série de repas dont il y a tout lieu de penser que les menus étaient moins frugaux que ceux des Restos du Coeur, que les gouvernants et les hauts fonctionnaires ont imaginé de réduire l'aide alimentaire européenne. Et il en est ainsi dans tous les domaines. Un Président célibataire prône le mariage pour tous. Des ministres se déplaçant en voiture de fonction conseillent d'emprunter les transports en commun. Des parlementaires débordants de santé se penchent sur la fin de vie. Des experts sans enfant réforment le temps scolaire. Et comme vitupérait le regretté Michel AUDIARD : " On est gouvernés par des lascars qui fixent le prix de la betterave et qui ne seraient pas fichus de faire pousser un radis "...

Et bien entendu, un train qui déraille : ce n'est pas un attentat, des " égorgements " : des jeunes désoeuvrés voire plutôt : malade mental, des vols à l'arrachée : les pôvres !, ils sont obligés, des viols : ce n'est pas de leur faute, il faut remonter dans leur petite enfance...

Nous, nous le savons depuis toujours puisque nous le vivons au quotidien : ce n'est jamais de leur faute, c'est de la faute des autres. Ne se sont-ils pas renvoyés à chaque changement de gouvernement ?
Une information parue dans " Le Midi presque Libre " comme disait dit l'un de mes amis, a attiré mon attention : " Algérie : trois pilleurs de tombes chrétiennes, membres d'un réseau international de trafiquants, ont été arrêtés dans l'ouest algérien, selon le quotidien algérien "Liberté, qui cite la gendarmerie ".

Etonnant que l'on parle des pilleurs de tombes (!!!) aujourd'hui, alors que depuis 1962, la presse algérienne ne se faisait pas l'écho de la profanation des tombes. Que recherche-elle ? Ou plutôt que recherche ses dirigeants ?

Ce 30 août est la " JOURNEE INTERNATIONALE des PERSONNES DISPARUES ". NOS DISPARUS " ne sont jamais évoqués. Où sont-ils ? Que sont-ils devenus ? Tellement
de questions sont sans réponse malgré la bataille menée par les associations.

Un devoir de mémoire s'est imposé à nous depuis notre exil, aussi, nous ne manquons pas d'êtres présents lors des cérémonies de MEMOIRE ou autres organisations, touchant à notre condition. Mais les rangs commencent à se clairsemer... Les absences, l'âge, la maladie, les moyens financiers ou de locomotion, ou la volonté de tourner la page tout simplement. Dans notre combat, nous avons pour mission de ne pas tourner la page sans la reconnaissance de NOTRE HISTOIRE.

En ce mois d'août 2013, il y a 46 ans que l'Amicale était officialisée. Depuis, son environnement gardois jusqu'en 1980, elle a bien évolué puisqu'elle est nationale - avec de nombreuses délégations - et je n'ose pas dire internationale, puisque nous avons des adhérents un peu partout dans le monde.

Créés en 1980, Aux Echos d'Alger y sont pour quelque chose.

Nous subissons bien sûr les affres du temps, mais peut-être moins vite que les amicales spécifiques, car notre force est d'être " nationale " avec de nombreuses associations de quartiers, villes ou villages qui se sont jointes à nous. Ce n'est surtout pas dans un esprit de " récupération ", c'est surtout pour être " encore vivants " après plus de 51 ans. Et le rester encore longtemps. Avec pourquoi pas une relève...

La Mère Patrie refuse d'écrire Notre Histoire, c'est donc à nous de le faire. Nous, ensemble.

Nos témoignages, nos activités, notre littérature, nos personnalités, nos nombreuses spécificités, ... doivent être consignés pour la postérité avec bien entendu, l'espoir de la VERITE qui sera, je l'espère, un bien pour notre descendance, afin qu'elle n'est pas à rougir du passé de leurs parents.

Septembre arrive avec la rentrée des classes, des larmes pour les plus petits, la joie des retrouvailles pour les autres ; des surprises concoctées par le gouvernement qui a pour mission de nous en faire " baver ; des souvenirs de vacances pour ceux qui ont pu emmagasiner de belles choses, et moins beaux pour ceux qui n'ont pu partir ; l'automne avec sa belle palette de couleurs changeant le paysage, ... Mais surtout la reprise du quotidien qui prend notre temps pour nous et vous faire plaisir.

Francette MENDOZA

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AUX ÉCHOS D'ALGER ÉDITORIAL de décembre 2013 n° 123

Novembre. Triste mois qui nous ramène encore plus et toujours vers l'Algérie où nous avons nos sépultures familiales abandonnées et très souvent profanées,
malgré ce que les médias peuvent écrire sur l'état des cimetières ... Malgré ce que nous avait dit le premier adjoint au Maire d'Alger (vice-président de l'APC) : “ La terre algérienne nous appartient, mais les tombes sont votre propriétés... Alors pourquoi n'êtes-vous pas venus les entretenir. Ce n'est pas de notre faute si elles sont abîmées... ». ???

Le 11 novembre : fête nationale et dépôt de gerbes à l'Arc de Triomphe.

Toujours très attendues les commémorations qui rappellent le sacrifice de ces Hommes qui n'avaient qu'un idéal en période de guerre : la Défense, l'Honneur et le Respect de leur Patrie, allant jusqu'à mourir pour elle.

Aucune question n'était posée. Il fallait. C'était un honneur. Que reste-t-il de tout cela. Hormis le faste. Rien.

Plus de service militaire. Une Armée en grande restriction, alors que d'autres pays s'arment jusqu'aux dents, comme dirait un certain Philippe CLAIR, comédien de » chez nous ». Une armée, au travers de ces jeunes engagés, qui se fait insulter à Castres ou ailleurs de «sales militaires, sales français», voire assassinée. Souvenez-vous le 15 mars 2012 à Montauban ! Pourtant ce ne sont pas des lieux de conflits... C'est en France !

Et oui ! Direz-vous C'est la France ! ». Sommes-nous en période de guerre camouflée ?

Tous les ingrédients y sont et la chasse est ouverte contre le gibier que nous sommes.

Mensonges, promesses, cachotteries, arrangements divers et variés, être sous les projecteurs avec de grandes envolées verbales, des droits pour certains sans devoirs de retour, une soi-disant démocratie qui est plus une dictature qui nous empêche de parler librement par peur d'être traîner devant les tribunaux, car nous, nous n'avons pas de circonstances atténuantes, pas de lois qui nous protègent, ...

Heureusement que certaines valeurs sont ranimées dans les cérémonies ou les offices religieux militaires, où le drapeau tricolore flotte avec fierté.

Pour la St Michel à Castres, dans son homélie, le Père Richard KALKA cite, avec le sacrifice des militaires, l'inscription qu'un sergent de l'Infanterie Coloniale -le sergent Pierre BAYLE - a gravé sur leurs tombes en Afrique, au cimetière d'Abéché: « Français ensevelis au-delà des frontières, la terre a pris vos corps, mais votre âme est en nous, et ce sol qui retient vos cendres prisonnières, si vous l'avez conquis, nous le garderons pour vous ».

Et ce sol... nous le garderons pour vous...

Au rythme où nous allons, croyez-vous que le sol ne va pas se dérober sous nos pieds?

Novembre et les 50 ans de l'assassinat de KENNEDY. Toutes les chaînes de radio et de télévision racontent et racontent encore, la fin dramatique du président. C'est un évènement mondial certes, mais KENNEDY ce sont les ETATS-UNIS. Bien sûr la finance... KENNEDY c'était aussi l'instigateur de l'indépendance de l'Algérie.
... Alors qu'il y a 51 ans, plus d'un million de Français d'Algérie étaient déportés, d'autres, hommes, femmes, enfants, civils, militaires, harkis, personnes âgées ou jeunes gens, étaient assassinés ou enlevés, portés DISPARUS sans que ces mêmes médias ne fassent la moindre allusion au drame que nous vivions, sans nommer le véritable assassin de NOTRE HISTOIRE ».

Alors qu'ils essaient toujours de voir le dessous du travers.

Deux poids, deux mesures. Tu es mieux traité lorsque tu es étranger.

Novembre et l'arrivée du froid. Les préparatifs de Noël et du Jour de l'An. Non pas les fêtes de fin d'année que l'on veut nous imposer pour retirer du vocabulaire les fêtes chrétiennes.

Soyons optimistes, continuons à apporter de la joie et du bonheur à ceux que nous aimons. N'enlevons pas l'innocence à nos petits par notre souci de l'avenir.
La France est endettée ? Qu'à cela ne tienne ! Nos gouvernants doivent tenir leur rang et ne pas se priver, mais veulent nous priver.

Les bonnets rouges, les usines qui ferment, les licenciements, les manifestations, rien n'altère leur sang froid. Sauf... tout ce qu'ils peuvent attribuer à l'extrême droite ! Pas à l'extrême gauche. « // n'y a pas d'extrême gauche » a eu l'audace de clamer un journaliste après l'arrestation de ce personnage de type européen ayant tiré sur un journaliste...

Nous aussi nous devons tenir notre rang familial ; nous aussi nous aurons malgré tout, une belle table de fêtes afin de ne pas faillir à la tradition, à nos coutumes, mais elle sera préparée avec nos deniers.

Elle ne sera que plus appréciée grâce à l'AMOUR qui s'en dégagera.

A vous tous chers amis,
JOYEUSES FETES de NOËL
et MEILLEURS VOEUX POUR 2014

Francette MENDOZA
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