A Diar-el-Mahçoul : le maréchal Juin inaugure en coupant le ruban symbolique, l'avenue (ou boulevard ? voir vue aérienne)du C.E.F.
A gauche : la stèle commémorative surmonté e du coq de combat
Le maréchal a examiné en détail les réalisations de la nouvelle cité. Il en exprime au député-maire, visiblement touché, sa surprise admirative.
Un ferme acte de foi aussi dans l'avenir
:
«- C'est l'Armée d'Afrique qui a fourni le plus gros des moyens surgis de ce sol. Ce sont ces mêmes éléments qui eurent à payer le plus lourd tribut de sacrifices dans les combats de la Libération. C'est au creuset des batailles que les deux races se sont le mieux fondues, le mieux comprises, le plus aimées avait dit le Maréchal en préambule...
" Puisons dans l'amitié franco-musulmane dont l'expression nous entoure, la certitude que durera l' œuvre française en Afrique du Nord ! », conclut-il sous une véritable ovation.
L'après-midi, le maréchal Juin inaugura à Diar-e1 Mahçoul le monument commémoratif et " Avenue du C.E.F. ", nom que la municipalité d'Alger a tenu à donner à la voie principale de la nouvelle cité. Les congressistes, auxquels s'étaient joints ceux de la 2 D.B., furent ensuite reçus à l'Hôtel de Ville par M. Jacques Chevallier, ancien du C.E.F., entouré de la Municipalité, en une cérémonie très simple, empreinte de la plus chaude cordialité.
«- C'est l'Armée d'Afrique qui a fourni le plus gros des moyens surgis de ce sol. Ce sont ces mêmes éléments qui eurent à payer le plus lourd tribut de sacrifices dans les combats de la Libération. C'est au creuset des batailles que les deux races se sont le mieux fondues, le mieux comprises, le plus aimées avait dit le Maréchal en préambule...
" Puisons dans l'amitié franco-musulmane dont l'expression nous entoure, la certitude que durera l' œuvre française en Afrique du Nord ! », conclut-il sous une véritable ovation.
L'après-midi, le maréchal Juin inaugura à Diar-e1 Mahçoul le monument commémoratif et " Avenue du C.E.F. ", nom que la municipalité d'Alger a tenu à donner à la voie principale de la nouvelle cité. Les congressistes, auxquels s'étaient joints ceux de la 2 D.B., furent ensuite reçus à l'Hôtel de Ville par M. Jacques Chevallier, ancien du C.E.F., entouré de la Municipalité, en une cérémonie très simple, empreinte de la plus chaude cordialité.