La Fédération des industries
cinématographiques d'Algérie a tenu à exposer
sa situation dans un long exposé dont voici les traits essentiels
:
Le 4 juillet 1946, la Fédération des industries cinématographiques
d'Algérie avait déposé un rapport pour demander
l'augmentation du prix des places dans les cinémas ; cette
demande fut rejetée par les Services économiques.
Le 11 septembre 1946, la Fédération déposait
un additif à la première demande, en raison des nouvelles
augmentations dont sont l'objet les transports, loyers, électricité,
personnel, publicité, assurance et surprimes, etc.
40 à 45 % des recettes sont versées au fisc.
(suite du déroulé
dans les articles.)
MAIS
Les cinémas rouvriront
lundi 3 mars
La Fédération de l'industrie
cinématographique en Algérie communique :
La suspension des séances cinématographiques, qui
avait été rendue effective depuis le lundi 17 février,
cessera à partir du lundi 3 mars à 12 heures.
Bien que n'ayant pas obtenu complète satisfaction pour leurs
revendications, les cinémas algériens rouvriront leurs
portes à la date indiquée.
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