| Les transports 
        en commun à Alger | 
| 53 Ko 
         | 
| 
 | Le journal « Les Travaux Nord-Africains » dans son numéro du 20 Juillet 
        1953, a publié cette communication... ... Qu'en pensez-vous? SEULE, a-t-on dit, la construction d'une ligne de « Métro » souterraine 
        « peut apporter une solution au problème de la circulation à Alger. « Mais le Métro souterrain coûte cher. L'expérience prouve que ce mode 
        de transport n'est rentable que lorsque les usagers sont au nombre de 
        300.000 par jour. C'est-à-dire pour des villes de 1 million et demi d'habitants 
        environ... Un de nos lecteurs pense que le problème de la circulation à Alger ne peut 
        attendre que la population algéroise ait atteint ce chiffre. Il a observé qu'une très forte proportion de véhicules, parmi ceux qui 
        contribuent à embouteiller les carrefours, viennent de la périphérie vers 
        un point donné de la ville, à certaines heures. Une faible proportion 
        seulement de véhicules circule dans la ville pour s'arrêter en plusieurs 
        points. Il soumet donc à notre appréciation — à celle de nos lecteurs — la suggestion 
        que voici : — Construire au-dessus des chaussées des principales artères parallèles 
        à la mer, (du Boulevard Galliéni au Lycée Bugeaud ou au delà ; d'Hussein-Dey 
        et du Ruisseau à la Place du Gouvernement, etc) des chaussées « aériennes 
        » sur pylônes. « La capacité de circulation serait 
        ainsi plus que doublée : la voie supérieure, sans piéton ni tramways, 
        permettrait une vitesse accrue pour la traversée de la ville, par les 
        véhicules venant des environs ou s'y rendant. «Ces viaducs-autostrades urbains communiqueraient, en quelques carrefours 
        seulement (Square Laferrière, Square Bresson, Place du Gouvernement) et 
        à leurs extrémités, avec les chaussées inférieures, par des rampes latérales 
        d'accès. A proximité de ces points devraient être créés des parkings '. |