| Tourisme en Algérie | 
| J'ai fréquenté 
                cette colonie...mais en août, réservé aux 
                garçons. Mes parents n'avaient pas - sortez les mouchoirs- 
                les moyens de m'offrir les rochers du RUA... | 
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|  En Kabylie, au col de Tagma-Yakouren, ronde des fillettes de la colonie municipale de vacances de la ville d'Alger. | 
| Le 3 juillet, cent vingt fillettes étaient rassemblées tôt le matin devant 
        la nouvelle mairie d'Alger. Elles ne tardaient pas à partir pour 
        le col de Tagma, situé dans la région de Yakouren (Kabylie) 
        où est installée la plus importante des colonies de vacances de la ville 
        d'Alger. Pendant cinq semaines, ces fillettes âgées de neuf à quatorze ans, ont 
        vécu à proximité d'une forêt enchantée où règnent les chèneslièges. A Tagma, ce ne sont que jeux et promenades depuis le lever jusqu'au coucher 
        du soleil. La nourriture y est abondante et saine. Chaque pensionnaire 
        paie entre 2.000 et 5.000 francs pour toute la durée de son séjour. De 
        plus, la Ville prend entièrement à sa charge les pensions de certains 
        enfants français européens et français musulmans. « Nous songeons à créer de nouvelles colonies de vacances. Nous espérons 
        les construire le plus rapidement possible », a dit au nom du député-maire 
        d'Alger et de tous les édiles, M. André Bonomme, adjoint aux Sports et 
        à la Jeunesse. On souhaite la naissance de nouvelles colonies de vacances, quand on a 
        respiré l'air de 
        Tagma-Yakouren. | ||
|  | M. Jacques CHEVALLIER, député- 
      maire d'Alger, est allé inopinément à Tagma-Yakouren 
      en visite privée. On peut reconnaître, au milieu des fillettes, 
      les édiles, MM. AQUILINA, BENAIM et GILLET, afin- si que M. LOVICONI, 
      secrétrire général de l'Administration Municipale. | |
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|  | Les jours heureux des fillettes à Tagma-Yakouren se passent de longs commentaires. Il suffit de regarder nos photos pour comprendre la joie de vivre des jeunes algéroises. Elles connaissent le songe d'une journée d'été dans la forêt kabyle. | |