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                les feuillets d'El-Djezaïr - Henri Klein 
                -  ( sur ce site en 2009 ) 
                Palais 
                d'été du gouverneur 
                - Palais d'Été de 
                Mustapha-Pacha - (Orphelinat Saint-Vincent-de-Paul, Mustapha Supérieur)
 Les troupes ( Le 7è . 
                régiment d'Infanterie légère, dont le loyer 
                annuel fut de 1.800 francs. En 1830, fut à Mustapha-Pacha 
                un hôpital militaire. (Voir à : Installation des 
                troupes).) habitèrent jusqu'en octobre 1848 
                le Palais de Mustapha-Pacha ( La. 
                pdrde du domaine qui faisait face e la campagne Yousouf (Yusuf), 
                fut occupée par une brigade de Gendarmerie et par le Train 
                des Équipages.).
 
 Quelque temps avant le départ des soldats, ce domaine fut 
                demandé pour des orphelins que l'Evêque Pavy avait 
                installés dans l'ancien consulat de Danemark, au Télemly, 
                où ces derniers ne pouvaient plus demeurer, l'Evêque 
                se trouvant dans l'impossibilité de payer le loyer de leur 
                asile.
 
 La requête du clergé fut accueillie favorablement 
                et, le 5 novembre de la même année, les orphelins 
                étaient installés dans l'immeuble devenu vacant, 
                sous la surveillance des Soeurs de Saint-Vincent de Paul ( Le 
                Génie conserva toutefois, une partie de la propriété 
                dont le loyer avait été porté en 1847, à 
                1.860 francs. L'autorité militaire prit un tiers de la 
                location, soit : 620 francs. L'autorité civile eut à 
                payer 1.240 francs.).
 
 L'ancien Palais de Mustapha-Pacha est encore affecté à 
                la même oeuvre de bienfaisance (La 
                coquille de marbre qui servait de bénitier, en l'ancienne 
                église de Mustapha, provient du Palais de Mustapha-Pacha. 
                Elle fut donnée à ce temple le 25 janvier 1841.). 
                Les magnifiques jardins faisant partie de ce domaine furent de 
                bonne heure cédés à des particuliers. La 
                superbe orangerie qui s'y trouvait fut, en 1845, concédée 
                à un sieur Bazire. Un vaste terrain situé à 
                l'Est du Palais fut, au même moment, loué à 
                un sieur Ortigoza "pour essai de culture de cactus à 
                cochenille".
 
 En avril 1863, le département d'Alger acheta, pour 200.000 
                francs, la campagne du Dey Mustapha - Pacha et le palais de la 
                rue de l'État-Major, devenu depuis Bibliothèque 
                Nationale.
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