| Jacques Chemoul : «"Le 
      café, c'est le "Tabarin", où il y avait un flipper 
      peu ordinaire. Au lieu des 3 parties maximum habituelles, on pouvait y faire 
      claquer bruyamment jusqu'à 15 gratuites. Celà remonte à 
      l'année 1958-59, je crois. -----C'est souvent là que j'allais éviter 
      l'ennui de la classe d'histoire de ma Math Elem, où Champetier cherchait 
      désespérement à ramener le calme en shootant bruyamment 
      de la pointe de sa grosse godasse sur l'estrade de bois.
 -----À la fin de l'heure, je faisais 
      défiler à regret toutes les parties abandonnées sur 
      place pour réintégrer discrètement le lycée 
      sans être vu de Gambini, censeur entre les censeurs, une terreur, 
      même pour les grands élèves, et qui de plus connaissait 
      mon père.
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