| .......Dès 
        1857, la création d'une école de Droit est demandée. 
        En 1872, on progresse des voeux vers les réalisations. Au budget 
        de l'Algérie, une somme de 50 000 francs est prévue pour 
        l'installation d'une école supérieure de Droit ; on constate 
        déjà la nécessité de développer l'étude 
        de la législation algérienne, du droit musulman et des coutumes 
        indigènes. 4. L'école de 
        Droit et Sciences économiques .......Il faudra 
        cependant attendre le projet de loi Paul Bert, devenu loi du 20 décembre 
        1879, pour que soient crées les écoles supérieures 
        de Droit, Lettres et Sciences. Les cours devaient commencer dès 
        le second semestre de l'année 1879-1880. .......Les 
        débuts sont modestes. L'école ne confère que capacité 
        et baccalauréat en droit. Aux examens, il y eut quatre candidats 
        en première année et six en seconde. Les locaux étaient 
        insuffisants et peu pratiques : l'école était logée 
        au second étage de la "rue" Scipion avec les disciplines 
        des Lettres et des Sciences. Pourtant, le p` Martel, dans le premier rapport 
        annuel, concluait: "L'école n'a qu'à 
        se féliciter de ses débuts".
 .......L'essor, 
        il est vrai, devait être plus rapide que pour les autres écoles, 
        et justifier vite les plus optimistes espoirs. Le nombre des étudiants 
        augmente, notamment grâce à un judicieux système de 
        préparation par correspondance mis au point par les professeurs. 
        De 25 en 1880, le nombre des inscrits passe à 117 en 1884-1885. 
        Dès 1881, l'école de Droit prépare à l'examen 
        de 3è année de licence, mais les épreuves devaient 
        être subies devant une faculté métropolitaine, et 
        les candidats devaient se rendre à Aix ou Montpellier; la préparation 
        était certainement fort sérieuse car, en 1882-1883, douze 
        étudiants d'Alger qui subissent les épreuves de licence 
        devant la faculté de Droit d'Aix, sont tous admis.
 .......Le 
        recteur se fonde sur ce succès pour se prononcer hautement en faveur 
        de la satisfaction que l'école de Droit réclame, celle de 
        décerner et de contresigner ces diplômes de licence dont 
        elle a vraiment l'honneur. Satisfaction sera donnée pu la
 loi du 5 décembre 1885, en vertu de laquelle l'école est 
        habilitée à faire subir les examens de licence en droit.
 .......Ainsi, 
        les fonctions de l'école s'apparentent toujours plus étroitement 
        à celles des facultés métropolitaines. En outre, 
        elle est chargée d'enseigner la législation algérienne, 
        le droit musulman, les coutumes indigènes. Un décret du 
        31 décembre 1889 lui accorde la faculté de décerner 
        le certificat d'études de législation algérienne 
        (plus tard tunisienne et marocaine), 
        de droit musulman et coutumes indigènes (ce diplôme 
        subsiste avec le titre plus simple de certificat d'études juridiques 
        nord -africaines).
 .......Entre-temps, 
        un besoin urgent s'était fait sentir de créer un lien pouvant 
        réunir toutes les disciplines.
 .......Après 
        bien des propositions, on décida enfin de construire ce qui deviendrait 
        la première université d'Alger, en un lieu que les Algérois 
        dénommaient, dit-on, "le champs 
        des navets" !! Celui-ci s'étendait depuis le 
        coteau du Télemly jusqu'à l'actuel lycée Delacroix, 
        appelé "les fourrés du parc 
        d'Isly"...
 .......L'inauguration 
        eut lieu le 13 avril 1887 - avant la fin des travaux - dans la grande 
        salle de la bibliothèque, en présence de trois ministres.
 La dépense avait été estimée entre un million 
        et un million cinq cent mille francs. Elle devait dépasser deux 
        millions et demi et se traduire par la construction d'un imposant corps 
        de bâtiment de 120 m de longueur sur 12 de profondeur avec quatre 
        ailes de 32,60 m de longueur sur 9 de largeur.
 .......Et 
        le 3 novembre 1887, c'était la première rentrée solennelle 
        des quatre écoles sous la présidence du recteur Jeanmaire 
        qui allait diriger pendant plus de vingt ans l'académie d'Alger. 
        Venu de son palais de la rue Bruce, le gouverneur Tirman était 
        là ; effort méritoire que le chef de l'enseignement algérien 
        soulignait en ces termes: il faut "reconnaître 
        que le lieu, pour cette cérémonie, a pu, par son éloignement, 
        faire hésiter même des amis des hautes études. Nous 
        ne vous en sommes que plus reconnaissants de n'avoir pas reculé 
        devant la distances.. " L'école s'y installe en 
        janvier 1888.
 .......II 
        était temps, car les effectifs continuent de s'accroître. 
        On compte 124 étudiants en 1889-1890, 190 en 1894-1895, 239 en 
        1899-1900, 263 en 1904-1905 et 338 en 1909-1910. Les effectifs sont alors 
        plus importants que ceux de plusieurs facultés métropolitaines.
 .......Le 
        directeur Robert Estoublon, publie en 1896, en collaboration avec le pr 
        Adolphe Lefebure, le remarquable Code de l'Algérie annoté, 
        qui fut tenu à jour par des publications annuelles. Ce travail 
        était complété par les volumes de la Jurisprudence 
        algérienne, le Bulletin judiciaire de l'Algérie et, surtout, 
        la Revue algérienne et tunisienne de législation et de jurisprudence. 
        Dans les questions juridiques, économiques, so-ciologiques intéressant 
        l'Algérie s'imposaient les noms de Charpentier, Larcher, Thomas, 
        Dain, Zeys, Morand... Les professeurs participaient à diverses 
        commissions et l'école se trouvait ainsi associée à 
        la préparation des lois et règlements concernant l'Algérie. 
        Depuis 1905, l'école publie la Revue algérienne et tunisienne 
        (puis marocaine) de législation et jurisprudence, fondée 
        en 1885 par Estoublon. L'école se comporte ainsi comme un foyer 
        très actif de recherches juridiques.
 .......Trois 
        hommes ont successivement donné à l'école cette impulsion 
        victorieuse : Estoublon, directeur de 1880 à 1895, Dujarrier (1895-1906) 
        et Morand, directeur de l'école de Droit depuis 1906, puis doyen 
        de la faculté de Droit jusqu'à son décès, 
        le ler janvier 1932.
 .......En 
        1906, un projet de création d'université est adressé 
        au gouverneur général par le ministre de l'Instruction publique. 
        Une enquête (novembre 1906) effectuée par deux délégués 
        du ministre aboutit à la rédaction d'un rapport favorable 
        à la transformation. En 1907, l'idée de la transformation 
        ayant fait son chemin lentement, les assemblées algériennes 
        elles-mêmes paraissent acquises à son 
        principe. Le ministre de l'Instruction publique peut faire insérer 
        dans le projet de loi de finances de 1908, la disposition groupant en 
        université les écoles supérieures d'Alger. Mais surgit 
        un dernier obstacle : la Chambre des députés, prenant à 
        son compte les préventions anciennes, exige un supplément 
        d'information. Une dernière et ample enquête sera menée 
        sur place, au printemps de 1908, par une commission de dix membres comprenant 
        Liard, vicerecteur de l'académie de Paris, Bayet, directeur de 
        l'Enseignement supérieur, et Berthélemy, professeur à 
        la faculté de Droit de Paris.
 .......Cette 
        cause était heureusement appuyée par le directeur de l'Enseignement 
        supérieur, le ministre de l'Instruction publique, et le gouverneur 
        général Jonnart.
 Création de l'université .......Le projet 
        de loi, déposé le 11 mai 1909, constituant en université 
        les écoles d'enseignement supérieur en Algérie est 
        voté par la Chambre le 5 juillet 1909 et devient, après 
        modification, la loi du 30 décembre 1909, qui transforme les écoles 
        supérieures en facultés et les réunit en université........"Art. 
        1er - Les écoles d'enseignement supérieur d'Alger reçoivent 
        le titre de facultés et sont constituées en université. 
        Le Conseil général des écoles prend le nom de Conseil 
        de l'université ; il est substitué au Conseil académique 
        dans le jugement des affaires contentieuses et disciplinaires relatives 
        à l'enseignement supérieur public. " Aboutissement 
        de longs efforts, l'Algérie se trouvait dotée dune faculté 
        de droit de statut identique à celles de la Métropole, mais 
        l'article 2 de la loi précise que 
        "les facultés dAlger ne jouissent ni de la personnalité 
        civile ni de l'autonomie financière et n'ont pas de budget spécial" 
        à la différence des facultés 
        métropolitaines. C'est l'université d'Alger elle-même 
        qui est dotée de la personnalité civile et jouit d'un budget 
        spécial."
 .......Il 
        faut mentionner aussi l'existence des deux centres d'informations et de 
        recherches que constituent le Centre de droit 
        comparé, directeur: M. Roussier, professeur, secrétaire 
        général, M. Colomer, agrégé, et le Laboratoire 
        de Statistique et d'Economie appliquée à l Afrique du Nora 
        directeur : M. Saint-Germés, professeur, directeur adjoint, M. 
        Gendarme, agrégé.
 .......Les 
        instituts d'université, qui recourent aux services de professeurs 
        des diverses facultés, s'efforcent de coordonner leur action et 
        de pallier, par là même, ce que la répartition en 
        quatre ou cinq facultés des différentes connaissances humaines 
        a d'arbitraire et de nuisible au progrès des recherches et des 
        enseignements.
 .......Deux 
        instituts d' niversité complètent à cet égard 
        la faculté de droit et des sciences économiques.
 .......L'Institut 
        d'études politiques, créé par 
        décret du 2 août 1949, a pour objet de coordonner et de compléter 
        les enseignements de la faculté de Droit et des Sciences économiques 
        et de la faculté des Lettres et Sciences humaines en matière 
        administrative, économique et sociale et d'initier leurs étudiants 
        aux problèmes concrets de l'administration et de la vie sociale.
 .......L'Institut 
        de préparation aux affaires, créé 
        par le décret du 5 août 1957, auquel il faut joindre l'arrêté 
        du 28 août 1957, s'efforce de réaliser une coopération 
        étroite entre les divers organismes d'enseignement et de recherche 
        dont les activités se rapportent à la vie des entreprises 
        et aux problèmes économiques et sociaux. II facilite également 
        la liaison entre l'enseignement universitaire et les entreprises ou administrations, 
        afin de donner aux études l'orientation pratique nécessaire. 
        La faculté a confié à l'nstitut de Préparation 
        aux affaires le soin d'organiser les enseignements préparant au 
        certificat d'aptitude à l'administration des entreprises. A ces 
        cours professés à la faculté d'Alger, il faut ajouter
 .......- pour 
        l'Institut d'études juridiques d'Oran, huit cours annuels de licence 
        (1è et 2è années) et deux cours annuels de capacité, 
        ainsi que quatre cours semestriels de licence (1è et 2è 
        années), et huit cours semestriels de capacité;
 .......- pour 
        l'Institut d'études juridiques de Constantine, huit cours annuels 
        de licence (1è et 2è années) et deux cours annuels 
        de capacité, ainsi que huit cours semestriels de capacité.
 .......De 
        sa fondation à nos jours, la faculté de Droit, devenue, 
        comme ses soeurs, depuis le décret du 26 août 1957, faculté 
        de Droit et des Sciences économiques d'Alger, s'est considérablement 
        développée dans des sens multiples. Qu'il s'agisse du nombre 
        de ses étudiants, du nombre de ses professeurs et plus largement 
        de l'importance de son personnel enseignant, des diplômes qu'elle 
        délivre et des enseignements qu'elle dispense, des instituts qui 
        la complètent soit à Alger, soit dans d'autres villes, de 
        l'activité de ses membres, il y a bien loin de la jeune faculté 
        de Droit de 1909 à l'actuelle faculté de Droit et des Sciences 
        économiques.
 .......Le 
        nombre des étudiants inscrits à cette faculté n'a 
        cessé de s'accroître. En faisant abstraction des chiffres 
        anormaux des années troublées par les guerres de 1914-18 
        et de 1939-45, on peut relever un progrès régulier des effectifs 
        qui se poursuit jusqu'en 1952-53, avec une croissance plus forte dans 
        les années qui suivent immédiatement les deux guerres mondiales. 
        On ne saurait, sans ingratitude, clore cet historique sans rappeler le 
        souvenir des professeurs et étudiants de la faculté de Droit 
        et des Sciences économiques d'Alger qui ont donné leur vie 
        pour leur pays. Pendant la Première Guerre mondiale, Emile Larcher, 
        professeur, Hyppolyte Pissard et Henri Jean Tournyol du Clos, agrégés, 
        ainsi que de très nombreux étudiants - le livre d'Or de 
        la faculté de droit publié en 1924 en mentionne quarante 
        sept - sont morts pour la France. Au cours de la Seconde Guerre mondiale, 
        le même terrible sort a été celui de Gilbert Maroger, 
        agrégé de droit public, de Claude Thomas, ancien chargé 
        de cours d'Alger qui, après son agrégation, avait longtemps 
        balancé avant de choisir Strasbourg plutôt qu'Alger et qui 
        est mort en déportation.
  Madiana 
        Delaye-Lastrajoli  Cf. " Université 
        d Alger ". Cinquantenaire 1909-1959
 
 Titulaires dans les 
        différentes chaires (au 1er avril 1959) Section historique Droit romain (1910) (1)Thomas (+ le 9 août 1933)
 Roussier (à compter du ler novembre 1936)
 Histoire générale du droit francais (1910) (2)
 Peltier (retraité le 8 juillet 1938)
 Charlier (3 mars 1939 au 15 novembre 1940;
 Capitant (la janvier 1941 au 9 avril 1944)
 Charlier
 Lemosse (à compter du 1er janvier 1953)
 Pandectes et histoire du droit privé (1919)
 -------Testaud (retraité le la janvier 
        1927)
 -------Viard (du la mai 1932 au 16 janvier 
        1939)
 -------Lambert (à compter du ler octobre 
        1946)
 Section droit privé  Droit civil (lère chaire)Vincent
 Gabolde
 Stefani (du ler octobre 1931 au ler janvier 1934) Rodière (depuis 
        le la janvier 1938)
 Vacante
 Droit civil (2è chaire - 1910)
 Dujarier
 Breton (depuis le la janvier 1933)
 Droit civil (3è chaire - 1910)
 Lemonnier
 Frejaville (du le octobre 1931 au ler janvier 1934)
 Le Breton (du 30 mars 1941 au 11 août 1947)
 Vacante
 Droit criminel (1910)
 Larcher
 Lebret (jusqu'au le octobre 1931)
 Berger-Vachon (du ler mai 1933 au lu décembre
 1941)
 Coste-Floret (du le décembre 1941 au le octobre
 1947)
 Berger-Vachon (du 1e octobre 1947 au le octobre
 1955)
 Vacante
 Procédure civile et voies d'exécution (1910) Lebret
 Coste-Floret
 Berger-Vachon (du le décembre 1941 au 1e octobre 1947)
 Peyrega (du la octobre 1947 au la octobre 1950) Chauveau (à compter 
        du le octobre 1952)
 Droit commercial (1910)
 Gérard
 Chauveau
 Derrida (à compter du le octobre 1955)
 Droit civil approfondi (1949) :
 vacante
 Droit civil comparé (1949) :
 vacante
 Section droit public Droit administratif (1910) Colin
 Mallarmé (retraité le le octobre 1945)
 Mabileau (à compter du 1 novembre 1952)
 Droit public (1921) (3)
 Bienvenue (jusqu'au 3 avril 1944)
 Fabre (du le janvier 1948 au le janvier 1954)
 Vacante
 Droit public (1951) (4)
 Dupuy (du la octobre 1954 au 1e décembre 1956)
 Vacante
 Droit social :
 Vacante
 Droit public (5) :
 Vacante
 Droit public général :
 Vacante
 Section économique Économie politique (lère charte-1914)Chauvin (jusqu'au 14 décembre 1933)
 Bousquet (du le novembre 1935 au le février
 1945)
 Saint-Germès (du 3 janvier 1946 au le janvier
 1950)
 Peyrega (du le octobre 1950 au le octobre 1951)
 Vacante
 Économie politique (2è chaire -1921)(6)
 Maunier
 Gaffiot (à compter du ler octobre 1929)
 Économie politique approfondie (1951)
 Saint-Germés (du le octobre 1951 au le octobre 1954)
 Vacante
 Disciplines intéressant 
        l'Afrique du Nord Législation algérienne (1910) 
        Charpentier
 Milliot (de 1925 au l octobre 1932)
 Viard (à compter du 30 janvier 1939)
 Droit musulman (1910)
 Morand (du 25 juillet 1895 à son décès le l janvier 
        1932)
 Milliot (du l octobre 1932 au l octobre 1942) Chavanne (à compter 
        du l janvier 1953)
 Droit et sciences coloniales (1942) (7)
 Milliot (du le octobre 1942 au 22 juin 1945)
 Saint-Gemmés (du la janvier 1950 au la octobre 1951)
 Peyrega (du la octobre 1951 au 14 juin 1958)
 Sociologie nord-africaine (1945)
 Bousquet (à compter du 1 janvier 1945)
 Économie algérienne (1953) (8)
 Saint-Germés (à compter du le octobre 1954)
 
 (1) Par arrêté ministériel du 7 avril 1959, la dénomination 
        est remplacée par celle de : histoire du droit privé
 (2) Par arrêté ministériel du 7 avril 1959, dénomination 
        remplacée par : histoire des institutions
 (3) Par arrêté ministériel du 7 avril 1959, dénomination 
        remplacée par : droit constitutionnel (4) Par arrêté 
        ministériel du 7 avril 1959, dénomination remplacée 
        par : droit international public
 (5) Par amêté ministériel du 7 avril 1959, dénomination 
        remplacée par: droit financier
 (6) Par arrêté ministériel du 7 avril 1959, dénomination 
        remplacée par: histoire de la pensée économique
 (7) Par arrêté ministériel du 7 avril 1959, dénomination 
        remplacée par : droit et économie donre-mer
 (8) Par arrêté ministériel du 7 avril 1959, dénomination 
        remplacée par : économie algérienne et saharienne
 Personnel enseignant En 1909-1910Morand, p' de droit, musulman, doyen
 Thomas, p' de droit Romain, assesseur Vincent, p' de droit civil
 Colin, p' de droit administratif (en congé) Charpentier, p' de 
        législation algérienne et tunisienne
 Gérard, p' de droit commercial
 Larcher, p' de droit criminel
 Peltier, p' d'histoire générale du droit français 
        Charrois, Ag.
 Ricol, Ag.
 Ledoux, Cc
 Sourdois, Cc
 Durtelle de Saint-Sauveur, Cc.
 
 Au 1er avril 1959
 Chauveau, p' de procédure civile et voies d'exécution, doyen 
        honoraire
 Gaffiot, p` d'économie politique, doyen honoraire
 Viard, p' de législation algérienne, doyen honoraire
 Breton, p' de droit civil, doyen et doyen honoraire
 Bousquet, pr de sociologie nord-africaine
 Roussier, p' de droit romain, directeur du Centre de droit comparé
 Saint-Germés, p' d'économie algérienne, directeur 
        du laboratoire de Statistique et d'économie appliquée de 
        l'Afrique du Nord
 Lambert, p` de Pandectes et histoire du droit
 privé. Assesseur du doyen, directeur de l'Institut d'études 
        juridiques de Constantine
 Mabileau, p' de droit administratif, directeur de
 l'institut d'études politiques
 Lemosse, p' d'histoire générale du droit français, 
        directeur de l'institut d'études juridiques d'Oran
 Chavanne, p` de droit Musulman (détaché en
 qualité de doyen de la faculté de droit de Beyrouth, Liban)
 Derrida, p' de droit commercial
 Chapus, p' à titre personnel (détaché à l'Institut
 des hautes études de Tunis)
 Guilho, p` sans chaire (détaché à la faculté 
        de
 droit de Rabat)
 Colomer, Ag. (droit privé)
 Fontaneau, Ag. (économie politique)
 Gendarme, Ag. (économie politique)
 Robert, Ag. (droit public), directeur du service
 des Travaux pratiques
 Sicard, Ag. (histoire du droit), directeur des
 salles de travail
 Vidal, Ag, (droit privé)
 Patarin, Ag. (droit privé)
 Chabert, Ag. (économie politique), directeur
 de l'Institut de préparation aux affaires
 Charpentier, Ag. (droit public)
 Lemosse, p' d'histoire générale du droit
 Mlle Lemasurier, Ag. (droit public)
 MM. Aberkane, Cc (droit privé)
 Guyenot, Cc (droit privé)
 Groslière, Cc (droit privé)
 Mlle Cordebas, Cc (économie politique)
 MM. Lacan, Cc (droit public)
 Di Malta, Cc (droit public)
 Mlle Monpère, As. (histoire du droit) Honorai, As. (droit privé)
 MM. Rouhette, As. (droit privé)
 Oppetit, As. (droit privé)
 Maestre, As. (droit public)
 Lebraty, As. (économie politique)
 Garello, As. (économie politique)
 Marichy, As. (droit public)
 Mercadal, As. (droit public)
 
 Abréviations
 Ag : agrégé
 As : assistant
 Cc : chargé de cours
 
 
 
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